Le Conseil de la concurrence marocain a infligé une amende de 7,58 millions de dirhams au géant pharmaceutique américain Viatris Inc. pour n’avoir pas déclaré une fusion. Cette sanction, qui s’inscrit dans une régulation stricte des pratiques commerciales, met en lumière les enjeux des fusions et acquisitions au Maroc. Ces opérations, souvent synonymes de croissance, peuvent aussi perturber la concurrence si elles ne sont pas encadrées.

Ce cas rappelle des situations similaires dans d’autres pays, où des entreprises multinationales ont été pénalisées pour des pratiques jugées contraires à la loi. Au Maroc, cette décision illustre une volonté accrue de réguler les acteurs économiques pour garantir un marché équitable.

Pour le secteur pharmaceutique, un contrôle strict est essentiel afin de protéger les consommateurs, surtout dans un contexte où la santé publique dépend de la transparence et de la concurrence saine.