Fallait frotter…
Fin de récréation pour le groupuscule trublion et gauche, à présent le voilà se consumer de son fiel ignare. Le Polisario joue d’un feu qui n’est pas sien. Sa puérilité n’a de bref que la petitesse de ses affidés. Ceux-ci s’étirent et leurs balourdises, se départagent un esprit à la taille de leur imaginaire.
Ils n’y trouvent plus haut qu’un drapeau marocain haut perché, arraché, remplacé par un torchon aux couleurs de leur perdition. Notre consul à Valence, a vite fait de décolorer cette chimère-mauvais-goût, mais ont-ils décoléré ? n’y prêtons pas de couleur, place à la sobriété !
L’ordre fut rétabli, de même allons-nous prendre de la hauteur. Ce chacun-sa-place bafoué par des brigands le 20 Octobre, restitué un vendredi 13 Novembre. Le Maroc, après avoir usé de ces recours à la règle, auprès des nations unies, pour déloger de ces malfrats mettant à mal le flux des biens et personnes au poste frontière maroco-mauritanien, a dû, face à l’impasse, mobiliser son armée, pour décoincer une situation qui n’a que trop durer.
Pas plus haut que leurs sandales !
Place au spectacle ! les brigands prirent la poudre d’escampette, mirent le feu à leurs sièges, dans leurs zigzags foufous perdirent leurs sandales au même titre que leurs cervelles, la débâcle fut digne d’un affront mal calculé, immortalisé par le soin de l’Histoire. Le feu mis aux tentes ne flambait pas plus haut que ce drapeau démis de sa place.
Ceux-ci n’eurent de malin que le rire qu’ils nous soutirent, au summum de leur création, ils ont cru bon de nous faire passer pour des pyromanes, des fous du feu pour ainsi nous attitrer d’abolitionnistes du cessez-le-feu signé en 1991. Ça ne vole pas plus haut que leurs sandales !
Ceux-ci dans leurs délires ont dû confondre les casques bleus de la MINUSRO avec le sable soulevé par leur cabrioles loufoques. Non, les envoyés des nations unies, ont bel et bien noté la démesure polisarienne dans toute sa fioriture.
We will eat them !
Pour rectifier le tir, pas celui dirigé vers nos forces de l’ordre alors que ceux-ci s’apprêtaient pacifiquement à libérer plus de 200 camions bloqués par la lubie des brigands, mais plutôt celui d’une déroute trouillarde, les brigands ont donné, et d’une vitesse encore plus folle, dans la désinformation.
Le mot « brigand » est utilisé à propos, celui-ci venait dans la bouche de Sa Majesté Le Roi Hassan II quand l’un des journalistes américains, curieux de savoir ce qu’adviendrait si le Polisario s'aventurait à attaquer la Marche Verte. Sa Majesté Le Roi Hassan II Après s’être enquis de l’équivalent du qualificatif « Brigand » et qui revenait comme « Smuglers », avait rondement dit que si ceux-là attaquaient la marche nous allons les manger. « We will eat them » dixit Hassan II. Une phrase qui reste d’actualité tant le Maroc ne démord pas sur ses territoires du sud.
Fini la MINURSO ?
Pour revenir à la désinformation, les brigands sont devenus la risée des réseaux sociaux en inventant de toute pièces des captures fictives de soldats marocains, de morts et de blessés embarqués dans un hélicoptère à l’image de leur cerveau-volant, une photo récupérée des archives de 2015 en Syrie.
Il va sans dire qu’après cet étourdissement sans-têtes que nous avions à subir, la donne a changé. La question de l’utilité de la MINURSO est posée. Une obsolescence programmée semble lui coller au train. Car si celle-ci peine à faire respecter les règles désignées par les nations unies eu égard de la zone-tampon, il y a à réfléchir…
Hicham Aboumerrouane / Arrissala / Lodj