Le rapport, réalisé par ONU Femmes, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et la Mission d'assistance des Nations Unies en Afghanistan (MANUA), met en lumière l'introduction par les autorités de facto de plus de 50 décrets qui "restreignent directement les droits et la dignité des femmes".
D'après les témoignages recueillis auprès de 745 femmes afghanes participant à cette enquête,“l’application de la loi par la police (…) a encore limité la capacité des femmes à quitter leur domicile”.
Le rapport souligne également que les femmes ont continué à établir un lien entre leur manque de droits, leurs perspectives limitées en matière d'éducation et d'emploi, et le déclin de leur influence au sein du foyer.
Entre le 27 janvier et le 8 février, les trois agences des Nations Unies ont recueilli des opinions en ligne et en personne, ainsi que lors de sessions de groupe et de télésondages individuels, dans les 34 provinces de l'Afghanistan.
Les participantes à l'enquête ont été invitées à partager leurs points de vue sur la période allant d'octobre à décembre 2023, selon les modalités établies par l'organisation internationale.
Dimanche dernier à Doha, des émissaires travaillant sur l'Afghanistan ont entamé une réunion organisée sous l'égide de l'ONU pour discuter de l'engagement de la communauté internationale dans ce pays.
Pendant deux jours, les participants réunis dans la capitale qatarie par le Secrétaire général de l'ONU devaient aborder la question du renforcement de l'engagement de la communauté internationale de manière plus coordonnée en Afghanistan.
Les 25 émissaires et autres délégations réunis à Doha doivent également examiner les recommandations d'une évaluation indépendante de l'ONU sur l'Afghanistan, qui lie une éventuelle reconnaissance des Talibans à la levée des restrictions sur les droits des femmes et l'accès à l'éducation.
De nombreux gouvernements et organisations d'aide ont suspendu ou réduit leurs financements dans ce pays d'Asie centrale, où la moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté et où 15 millions de personnes sont en situation d'insécurité alimentaire, selon la Banque mondiale.
D'après les témoignages recueillis auprès de 745 femmes afghanes participant à cette enquête,“l’application de la loi par la police (…) a encore limité la capacité des femmes à quitter leur domicile”.
Le rapport souligne également que les femmes ont continué à établir un lien entre leur manque de droits, leurs perspectives limitées en matière d'éducation et d'emploi, et le déclin de leur influence au sein du foyer.
Entre le 27 janvier et le 8 février, les trois agences des Nations Unies ont recueilli des opinions en ligne et en personne, ainsi que lors de sessions de groupe et de télésondages individuels, dans les 34 provinces de l'Afghanistan.
Les participantes à l'enquête ont été invitées à partager leurs points de vue sur la période allant d'octobre à décembre 2023, selon les modalités établies par l'organisation internationale.
Dimanche dernier à Doha, des émissaires travaillant sur l'Afghanistan ont entamé une réunion organisée sous l'égide de l'ONU pour discuter de l'engagement de la communauté internationale dans ce pays.
Pendant deux jours, les participants réunis dans la capitale qatarie par le Secrétaire général de l'ONU devaient aborder la question du renforcement de l'engagement de la communauté internationale de manière plus coordonnée en Afghanistan.
Les 25 émissaires et autres délégations réunis à Doha doivent également examiner les recommandations d'une évaluation indépendante de l'ONU sur l'Afghanistan, qui lie une éventuelle reconnaissance des Talibans à la levée des restrictions sur les droits des femmes et l'accès à l'éducation.
De nombreux gouvernements et organisations d'aide ont suspendu ou réduit leurs financements dans ce pays d'Asie centrale, où la moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté et où 15 millions de personnes sont en situation d'insécurité alimentaire, selon la Banque mondiale.