Le Ramadan commence et les prix atteignent des niveaux records, ce qui a un impact sur le budget des courses de nombreux Marocains. Dans un rapport détaillé sur les prix des produits alimentaires, publié ce mardi 12 mars 2024, Al Ahdath Al Maghribia rapporte que la plupart des produits les plus consommés par les Marocains ont connu une augmentation exceptionnelle.
À l'exception des pommes de terre et des tomates, dont le prix au kilogramme a légèrement baissé par rapport aux mois précédents, le prix d'autres produits essentiels au quotidien des Marocains a augmenté.
Par exemple, le kilogramme d'oignons se vend maintenant à 8 dirhams, tandis que les poivrons sont à 15 dirhams le kilogramme. Les haricots sont désormais vendus à 25 dirhams le kilogramme.
Cette hausse des prix touche également les fruits les plus couramment consommés, comme les pommes, dont le prix au kilogramme varie maintenant entre 16 et 20 dirhams. Les bananes sont également touchées, avec un prix au kilogramme dépassant désormais 12 dirhams.
Al Ahdath Al Maghribia, qui a également enquêté auprès des bouchers sur cette inflation, explique que les viandes sont également concernées par ces fortes augmentations.
Par exemple, le prix du kilogramme de bœuf varie entre 80 et 90 dirhams dans les boucheries des quartiers populaires, où le pouvoir d'achat est plus faible, ce qui se reflète dans les prix, tandis que les différentes volailles se vendent en moyenne à 22 dirhams le kilogramme. Même les œufs ont augmenté et se vendent désormais à 1,60 dirhams l'unité.
Le poisson, très apprécié pour le ftour pendant le Ramadan, est également fortement touché par cette augmentation des prix. Le prix des sardines, le poisson le moins cher, est en hausse, et les soles ou les merlans se vendent maintenant à 140 et 90 dirhams le kilogramme.
Selon l'économiste et professeur universitaire Driss El Fina, interrogé par Al Ahdath Al Maghribia, la situation est préoccupante car elle affecte lourdement le pouvoir d'achat des Marocains.
À l'exception des pommes de terre et des tomates, dont le prix au kilogramme a légèrement baissé par rapport aux mois précédents, le prix d'autres produits essentiels au quotidien des Marocains a augmenté.
Par exemple, le kilogramme d'oignons se vend maintenant à 8 dirhams, tandis que les poivrons sont à 15 dirhams le kilogramme. Les haricots sont désormais vendus à 25 dirhams le kilogramme.
Cette hausse des prix touche également les fruits les plus couramment consommés, comme les pommes, dont le prix au kilogramme varie maintenant entre 16 et 20 dirhams. Les bananes sont également touchées, avec un prix au kilogramme dépassant désormais 12 dirhams.
Al Ahdath Al Maghribia, qui a également enquêté auprès des bouchers sur cette inflation, explique que les viandes sont également concernées par ces fortes augmentations.
Par exemple, le prix du kilogramme de bœuf varie entre 80 et 90 dirhams dans les boucheries des quartiers populaires, où le pouvoir d'achat est plus faible, ce qui se reflète dans les prix, tandis que les différentes volailles se vendent en moyenne à 22 dirhams le kilogramme. Même les œufs ont augmenté et se vendent désormais à 1,60 dirhams l'unité.
Le poisson, très apprécié pour le ftour pendant le Ramadan, est également fortement touché par cette augmentation des prix. Le prix des sardines, le poisson le moins cher, est en hausse, et les soles ou les merlans se vendent maintenant à 140 et 90 dirhams le kilogramme.
Selon l'économiste et professeur universitaire Driss El Fina, interrogé par Al Ahdath Al Maghribia, la situation est préoccupante car elle affecte lourdement le pouvoir d'achat des Marocains.