Un secteur en pleine mutation technologique
Le Festival de Louxor pour le film africain revient pour sa 14e édition, offrant une plateforme unique dédiée aux évolutions et aux défis du cinéma africain.
Prévu du 9 au 14 janvier, cet événement culturel mettra en avant un forum intitulé « L’avenir des festivals de cinéma africain à l’ère du numérique », un sujet crucial dans un secteur en pleine mutation technologique.
Prévu du 9 au 14 janvier, cet événement culturel mettra en avant un forum intitulé « L’avenir des festivals de cinéma africain à l’ère du numérique », un sujet crucial dans un secteur en pleine mutation technologique.
Une présence marocaine remarquée
Le forum des 11 et 12 janvier réunira des figures de renom, dont plusieurs représentants marocains.
Iz-Eddine Gourirran, directeur du Festival du cinéma africain de Khouribga, et Zine El Abidine Charafeddine, directeur du Festival international du film de Dakhla, porteront haut les couleurs du Maroc.
Leur participation souligne le rôle central du pays dans la promotion du cinéma africain sur la scène internationale.
Iz-Eddine Gourirran, directeur du Festival du cinéma africain de Khouribga, et Zine El Abidine Charafeddine, directeur du Festival international du film de Dakhla, porteront haut les couleurs du Maroc.
Leur participation souligne le rôle central du pays dans la promotion du cinéma africain sur la scène internationale.
Des échanges pour un futur numérique
Cette rencontre, pensée comme un espace de dialogue et de collaboration, rassemblera des personnalités influentes telles que Gaby Khoury, producteur et distributeur égyptien, Andrea Voges, directrice du Festival international du film de Durban, ou encore Mahen Bonetti, directrice du Festival du film africain de New York.
Au programme : une réflexion approfondie sur les transformations numériques, les défis de la diffusion internationale et les opportunités offertes par les nouvelles technologies pour renforcer la présence du cinéma africain dans le monde.
Au programme : une réflexion approfondie sur les transformations numériques, les défis de la diffusion internationale et les opportunités offertes par les nouvelles technologies pour renforcer la présence du cinéma africain dans le monde.
Un pont entre tradition et modernité
Alors que le cinéma africain cherche à s’adapter aux évolutions technologiques, ce forum offre l’opportunité d’identifier des solutions concrètes pour surmonter les obstacles liés à la distribution, tout en valorisant les spécificités culturelles de chaque région.
À travers ce rendez-vous annuel, le Festival de Louxor confirme son rôle de carrefour pour les professionnels du septième art, et le Maroc y joue un rôle actif, montrant l’engagement de ses acteurs culturels dans les débats stratégiques autour de l’avenir du cinéma africain.
À travers ce rendez-vous annuel, le Festival de Louxor confirme son rôle de carrefour pour les professionnels du septième art, et le Maroc y joue un rôle actif, montrant l’engagement de ses acteurs culturels dans les débats stratégiques autour de l’avenir du cinéma africain.