Le journaliste marocain Fahd Al-Hashemi n’a pas mâché ses mots face à la polémique suscitée par un tweet offensant de la journaliste égyptienne Hala Sarhan à l’encontre des femmes marocaines. Dans un climat de tensions médiatiques récurrentes entre certains cercles égyptiens et le Maroc, cet incident a ravivé la question de la dignité des femmes marocaines, une ligne rouge qui ne saurait être franchie.

Fahd Al-Hashemi a dénoncé une attaque gratuite et injustifiée, insistant sur le fait que les stéréotypes véhiculés par certains médias étrangers alimentent des clichés archaïques. L'affaire a rapidement enflammé les réseaux sociaux, où de nombreux internautes marocains ont exprimé leur indignation face à ce mépris médiatique.

Ce genre de controverses n’est pas nouveau. À plusieurs reprises, des figures médiatiques ou politiques étrangères ont tenu des propos jugés insultants à l’égard des femmes marocaines, déclenchant des vagues de protestation. Cette fois encore, la réaction marocaine a été immédiate et ferme, avec des appels au respect et à la responsabilité journalistique.

Cette affaire relance un débat plus large : la perception des femmes marocaines dans les médias internationaux et la nécessité de lutter contre les discours stigmatisants. Une prise de conscience collective semble émerger, visant à défendre une image plus juste et respectueuse des Marocaines.