






Grâce royale pour Abdelkader Belliraj 02/04/2025
Abdelkader Belliraj, qui était jusque-là détenu au Maroc, avait été reconnu coupable d’avoir dirigé un réseau islamiste radical accusé d’être impliqué dans divers actes criminels graves, notamment des assassinats et des activités de terrorisme. Sa condamnation à perpétuité en 2009 avait suscité un énorme débat, tant au Maroc qu'à l'étranger, notamment en Belgique d'où il est également originaire. Cette grâce royale accordée par le roi Mohammed VI marque un tournant inattendu dans cette affaire controversée.
La décision du souverain intervient dans un contexte où les autorités marocaines ont à plusieurs reprises montré une volonté d’apaiser certaines tensions ou de renforcer les relations diplomatiques et sociales. La famille de Belliraj, qui n’a cessé de clamer son innocence et de dénoncer ce qu’elle considérait comme un procès injuste, voit enfin ses efforts récompensés.
La libération d’Abdelkader Belliraj soulève cependant de nombreuses questions, notamment sur les critères ayant conduit à cette grâce. Elle s'inscrit également dans une pratique habituelle des grâces royales marocaines, souvent perçues comme un geste de clémence ou une réponse politique à des situations délicates. Les réactions des parties concernées, en particulier celles des victimes présumées des crimes pour lesquels il avait été condamné, risquent d’alimenter le débat public.
Pour l'instant, cette décision ouvre une nouvelle page pour Abdelkader Belliraj, qui pourra désormais retrouver sa liberté après avoir passé plus d'une décennie derrière les barreaux.
La décision du souverain intervient dans un contexte où les autorités marocaines ont à plusieurs reprises montré une volonté d’apaiser certaines tensions ou de renforcer les relations diplomatiques et sociales. La famille de Belliraj, qui n’a cessé de clamer son innocence et de dénoncer ce qu’elle considérait comme un procès injuste, voit enfin ses efforts récompensés.
La libération d’Abdelkader Belliraj soulève cependant de nombreuses questions, notamment sur les critères ayant conduit à cette grâce. Elle s'inscrit également dans une pratique habituelle des grâces royales marocaines, souvent perçues comme un geste de clémence ou une réponse politique à des situations délicates. Les réactions des parties concernées, en particulier celles des victimes présumées des crimes pour lesquels il avait été condamné, risquent d’alimenter le débat public.
Pour l'instant, cette décision ouvre une nouvelle page pour Abdelkader Belliraj, qui pourra désormais retrouver sa liberté après avoir passé plus d'une décennie derrière les barreaux.
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