Entre soulagement et désillusion, les pluies ne dissipent pas toutes les inquiétudes
Drâa-Tafilalet, l'une des régions les plus affectées par la crise hydrique qui perturbe le royaume, lutte depuis des années contre une sécheresse de plus en plus sévère. Les habitants ont enfin retrouvé un peu d'espoir grâce aux pluies abondantes qui se sont récemment abattues sur leur terre.
Cependant, ces mêmes habitants, déjà épuisés par une pénurie d'eau persistante, voient leurs champs, autrefois florissants, partir en fumée. Les températures extrêmes, associées à la sécheresse prolongée, ont créé un environnement explosif où le moindre feu se transforme en un incendie dévastateur. L'absence d'eau non seulement empêche de lutter efficacement contre les flammes, mais contribue également à la mort des cultures, privant ainsi la population de ses moyens de subsistance.
Ces dernières précipitations, bien que salvatrices, ont révélé une autre facette des défis que cette communauté doit affronter. En effet, en l'absence d'un barrage pour conserver cette précieuse ressource, la vallée de Ghriss a perdu une quantité colossale d'eau. Selon les habitants, cette eau aurait pu nourrir la région pendant sept ans, soulignant ainsi le potentiel gaspillé.
Cette situation met en lumière l'urgence d'investir dans un barrage pour la vallée du Ghriss, qui pourrait sauver la région, ainsi que dans d'autres infrastructures hydrauliques pour cette zone vulnérable. Malgré des dégâts enregistrés, les habitants demeurent reconnaissants. Néanmoins, ils ne peuvent s'empêcher de ressentir une certaine amertume face à cette opportunité perdue.
Cependant, ces mêmes habitants, déjà épuisés par une pénurie d'eau persistante, voient leurs champs, autrefois florissants, partir en fumée. Les températures extrêmes, associées à la sécheresse prolongée, ont créé un environnement explosif où le moindre feu se transforme en un incendie dévastateur. L'absence d'eau non seulement empêche de lutter efficacement contre les flammes, mais contribue également à la mort des cultures, privant ainsi la population de ses moyens de subsistance.
Ces dernières précipitations, bien que salvatrices, ont révélé une autre facette des défis que cette communauté doit affronter. En effet, en l'absence d'un barrage pour conserver cette précieuse ressource, la vallée de Ghriss a perdu une quantité colossale d'eau. Selon les habitants, cette eau aurait pu nourrir la région pendant sept ans, soulignant ainsi le potentiel gaspillé.
Cette situation met en lumière l'urgence d'investir dans un barrage pour la vallée du Ghriss, qui pourrait sauver la région, ainsi que dans d'autres infrastructures hydrauliques pour cette zone vulnérable. Malgré des dégâts enregistrés, les habitants demeurent reconnaissants. Néanmoins, ils ne peuvent s'empêcher de ressentir une certaine amertume face à cette opportunité perdue.