Les étudiants en médecine et en pharmacie s'opposent fermement à l'implication de leurs parents dans une nouvelle médiation pour résoudre la crise en cours, qui dure depuis neuf mois.

Ils insistent sur le fait que seules les discussions entre le ministère et leurs représentants élus peuvent aboutir à une solution.

Les étudiants demandent notamment la non-application rétroactive de la nouvelle structure pédagogique, la réintégration des étudiants suspendus, et la reprogrammation des examens. Ils critiquent également l'inaction du ministère et craignent les conséquences d'une année blanche.