La visite de la délégation italienne de l'Université de Rome III au siège du CCME marque le début d'une collaboration prometteuse axée sur la création d'un institut culturel marocain.
Cette initiative renforce l'importance de l'échange culturel et de la compréhension mutuelle dans un monde de plus en plus connecté.
La coopération entre le CCME et l'Université de Rome III représente un pas significatif vers un avenir où les frontières culturelles sont transcendées au profit d'une coexistence harmonieuse et enrichissante.
Cette initiative renforce l'importance de l'échange culturel et de la compréhension mutuelle dans un monde de plus en plus connecté.
La coopération entre le CCME et l'Université de Rome III représente un pas significatif vers un avenir où les frontières culturelles sont transcendées au profit d'une coexistence harmonieuse et enrichissante.
M. Abdellah BOUSSOUF, Secrétaire général du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) a reçu au siège du conseil à Rabat, une délégation italienne de l’Université de Rome III. La visite a pour objectif de définir le cadre pour la création d’un institut culturel marocain au sein de l’Université italienne.
Un centre de recherche et de réflexion intellectuelle qui œuvre pour l’amélioration des politiques publiques marocaines envers les Marocains du monde, Des politiques qui doivent être en phase avec les aspirations de nos communautés à l’étranger et qui doivent surtout accompagner le processus de leur intégration dans les pays d’accueil qui est désormais irréversible… explique M. Boussouf.
En ce sens, « la création d’un centre de recherches et d’études marocaines au sein de l’Université Rome III sera, entre autres, un outil de cette intégration, en mettant en lumière nos ressemblances culturelles et la compatibilité des valeurs marocaines avec la civilisation européenne, créant un climat social de coexistence », affirme M. Boussouf, expliquant que « les Marocains du monde continuent de prouver par leurs réalisations qu’ils sont une valeur ajoutée à la fois pour leurs pays d’origine et d’accueil ».
Pour sa part, le Recteur de l’Université de Rome III, Prof. Massimiliano Fiorucci, a affirmé que les nouvelles générations de Marocains d’Italie ont porté des changements à la perception de la migration, en étant « des éléments essentiels de la médiation interculturelle ».
La collaboration avec le CCME est, selon M. Fiorucci, une opportunité pour mieux connaître la culture marocaine et une occasion d’inscrire la mobilité au centre des échanges entre les deux pays. Son Université primée pour être la première en Italie en termes d’accords internationaux, compte 35.000 étudiants et 13 départements des mieux classés dans leurs disciplines.
Un centre de recherche et de réflexion intellectuelle qui œuvre pour l’amélioration des politiques publiques marocaines envers les Marocains du monde, Des politiques qui doivent être en phase avec les aspirations de nos communautés à l’étranger et qui doivent surtout accompagner le processus de leur intégration dans les pays d’accueil qui est désormais irréversible… explique M. Boussouf.
En ce sens, « la création d’un centre de recherches et d’études marocaines au sein de l’Université Rome III sera, entre autres, un outil de cette intégration, en mettant en lumière nos ressemblances culturelles et la compatibilité des valeurs marocaines avec la civilisation européenne, créant un climat social de coexistence », affirme M. Boussouf, expliquant que « les Marocains du monde continuent de prouver par leurs réalisations qu’ils sont une valeur ajoutée à la fois pour leurs pays d’origine et d’accueil ».
Pour sa part, le Recteur de l’Université de Rome III, Prof. Massimiliano Fiorucci, a affirmé que les nouvelles générations de Marocains d’Italie ont porté des changements à la perception de la migration, en étant « des éléments essentiels de la médiation interculturelle ».
La collaboration avec le CCME est, selon M. Fiorucci, une opportunité pour mieux connaître la culture marocaine et une occasion d’inscrire la mobilité au centre des échanges entre les deux pays. Son Université primée pour être la première en Italie en termes d’accords internationaux, compte 35.000 étudiants et 13 départements des mieux classés dans leurs disciplines.