Malgré l'importance de ce projet, sa mise en œuvre de la deuxième phase de ce projet semble être retardée. Ce retard survient malgré les objectifs initiaux fixés pour 2024 et les attentes croissantes des citoyens, en particulier ceux des catégories les plus vulnérables. Plusieurs facteurs, dont des difficultés financières et des désaccords sur la gestion, semblent freiner ce projet prioritaire.
Ce retard risque de provoquer une certaine frustration au sein de la population, notamment parmi les bénéficiaires potentiels qui attendent avec impatience cette couverture. Les syndicats et les associations de la société civile pourraient exprimer leur mécontentement, réclamant des explications et des solutions rapides.
La généralisation de la couverture sociale représente un investissement majeur, mais son retard pourrait aussi retarder les retombées positives attendues sur l'économie, notamment en termes de réduction de la pauvreté et d'amélioration des conditions de vie. Comparé à d'autres pays qui ont également entrepris des réformes de protection sociale, le Maroc doit faire face à des défis complexes, mais cruciaux pour l’avenir de son modèle social.
Le retard dans la deuxième phase de la généralisation de la couverture sociale souligne les difficultés rencontrées par le gouvernement dans la mise en œuvre de réformes structurelles. À court terme, cela pourrait susciter des tensions sociales, mais à long terme, cette réforme reste essentielle pour l’inclusion sociale et la justice sociale au Maroc.
Ce retard risque de provoquer une certaine frustration au sein de la population, notamment parmi les bénéficiaires potentiels qui attendent avec impatience cette couverture. Les syndicats et les associations de la société civile pourraient exprimer leur mécontentement, réclamant des explications et des solutions rapides.
La généralisation de la couverture sociale représente un investissement majeur, mais son retard pourrait aussi retarder les retombées positives attendues sur l'économie, notamment en termes de réduction de la pauvreté et d'amélioration des conditions de vie. Comparé à d'autres pays qui ont également entrepris des réformes de protection sociale, le Maroc doit faire face à des défis complexes, mais cruciaux pour l’avenir de son modèle social.
Le retard dans la deuxième phase de la généralisation de la couverture sociale souligne les difficultés rencontrées par le gouvernement dans la mise en œuvre de réformes structurelles. À court terme, cela pourrait susciter des tensions sociales, mais à long terme, cette réforme reste essentielle pour l’inclusion sociale et la justice sociale au Maroc.