Restaurant en détresse : Les propriétaires crient au secours
Les restaurateurs expriment leurs préoccupations face aux pénalités imposées par le Fonds National de Sécurité Sociale, qui frappent durement leurs entreprises dans un contexte économique déjà précaire. Le président de l'Université Nationale des Propriétaires de Cafés et Restaurants met en lumière que 8,5 millions de Marocains sont exclus du système d'assurance santé, une situation alarmante qui nécessite une attention immédiate.
Malgré plusieurs réunions avec les autorités, les problèmes persistent, notamment l’augmentation des contrôles fiscaux et des amendes, qui ont explosé depuis la pandémie de Covid-19. Les restaurateurs peinent à se conformer aux exigences fiscales, aggravées par des montants souvent supérieurs aux sommes initialement demandées.
Les frais de sécurité sociale représentent un véritable fardeau pour les employeurs. Ceux-ci préfèrent minimiser les montants déclarés pour éviter une hausse des coûts, ce qui complique davantage la situation. L’intervenant souligne que ces frais s’appliquent non seulement aux salaires, mais aussi à d’autres charges comme l’eau et l’électricité.
Les restaurateurs appellent à une réglementation claire pour le secteur, faisant état d’un manque de contrôle et de normes sanitaires. Ils souhaitent des lois régulatrices qui définissent qui peut vendre des aliments, afin de protéger les investisseurs et d’assurer un cadre opérationnel viable.
Les frustrations des travailleurs face à l’inefficacité des lois et à la gestion du Fonds National de Sécurité Sociale sont palpables. Les manifestants, réunis à Casablanca, cherchent à attirer l’attention sur des lois jugées difficiles à appliquer. L’orateur critique l’inefficacité des autorités et appelle à des réformes urgentes pour garantir les droits des employés.
Les propriétaires de cafés et restaurants réclament également une reconnaissance de leurs professions et une meilleure protection pour leurs employés, notamment en ce qui concerne l’enregistrement formel des travailleurs.
Malgré plusieurs réunions avec les autorités, les problèmes persistent, notamment l’augmentation des contrôles fiscaux et des amendes, qui ont explosé depuis la pandémie de Covid-19. Les restaurateurs peinent à se conformer aux exigences fiscales, aggravées par des montants souvent supérieurs aux sommes initialement demandées.
Les frais de sécurité sociale représentent un véritable fardeau pour les employeurs. Ceux-ci préfèrent minimiser les montants déclarés pour éviter une hausse des coûts, ce qui complique davantage la situation. L’intervenant souligne que ces frais s’appliquent non seulement aux salaires, mais aussi à d’autres charges comme l’eau et l’électricité.
Les restaurateurs appellent à une réglementation claire pour le secteur, faisant état d’un manque de contrôle et de normes sanitaires. Ils souhaitent des lois régulatrices qui définissent qui peut vendre des aliments, afin de protéger les investisseurs et d’assurer un cadre opérationnel viable.
Les frustrations des travailleurs face à l’inefficacité des lois et à la gestion du Fonds National de Sécurité Sociale sont palpables. Les manifestants, réunis à Casablanca, cherchent à attirer l’attention sur des lois jugées difficiles à appliquer. L’orateur critique l’inefficacité des autorités et appelle à des réformes urgentes pour garantir les droits des employés.
Les propriétaires de cafés et restaurants réclament également une reconnaissance de leurs professions et une meilleure protection pour leurs employés, notamment en ce qui concerne l’enregistrement formel des travailleurs.