Désormais, il faut débourser jusqu’à 7 dirhams le kilo, un chiffre qui fait grincer des dents les ménages et alimente les discussions chez les commerçants.
Selon les professionnels du secteur, cette flambée des prix s’explique par une combinaison de facteurs, notamment la sécheresse qui a frappé durement les récoltes, les coûts de production qui ne cessent d’augmenter, et la spéculation sur les marchés. Ce phénomène n’est pas sans rappeler la montée des prix d’autres produits de première nécessité, suscitant des inquiétudes quant à la stabilité des prix alimentaires au Maroc.
Pour les consommateurs, c’est une mauvaise nouvelle de plus dans un contexte économique déjà tendu. Les pommes de terre, autrefois considérées comme une alternative bon marché pour nourrir les familles, deviennent désormais presque inaccessibles pour certains. Cette situation met en lumière les défis que rencontre le secteur agricole marocain face aux aléas climatiques et économiques.
Le gouvernement est attendu au tournant pour proposer des solutions et apaiser les tensions sur les marchés. Mais en attendant, les pommes de terre, elles, restent hors de portée pour de nombreux Marocains.
Selon les professionnels du secteur, cette flambée des prix s’explique par une combinaison de facteurs, notamment la sécheresse qui a frappé durement les récoltes, les coûts de production qui ne cessent d’augmenter, et la spéculation sur les marchés. Ce phénomène n’est pas sans rappeler la montée des prix d’autres produits de première nécessité, suscitant des inquiétudes quant à la stabilité des prix alimentaires au Maroc.
Pour les consommateurs, c’est une mauvaise nouvelle de plus dans un contexte économique déjà tendu. Les pommes de terre, autrefois considérées comme une alternative bon marché pour nourrir les familles, deviennent désormais presque inaccessibles pour certains. Cette situation met en lumière les défis que rencontre le secteur agricole marocain face aux aléas climatiques et économiques.
Le gouvernement est attendu au tournant pour proposer des solutions et apaiser les tensions sur les marchés. Mais en attendant, les pommes de terre, elles, restent hors de portée pour de nombreux Marocains.