L’auto-construction dans l’immobilier marocain sous contrôle
Le secteur immobilier marocain, particulièrement l’auto-construction, est sous la loupe des autorités fiscales qui révèlent des abus fréquents de la part de promoteurs. Sous couvert d’usage personnel, certains investisseurs développent et revendent des biens sans appliquer les taxes appropriées.
Ce phénomène, observé surtout à Casablanca et Marrakech, est désormais ciblé par la Direction générale des impôts (DGI), qui déploie de nouveaux outils numériques et des partenariats pour identifier les transactions suspectes.
Les contrôles de 2024 ont généré 5,8 milliards de dirhams, mettant en lumière l’ampleur de la fraude et la volonté de l’État de renforcer sa collecte fiscale.
Ce phénomène, observé surtout à Casablanca et Marrakech, est désormais ciblé par la Direction générale des impôts (DGI), qui déploie de nouveaux outils numériques et des partenariats pour identifier les transactions suspectes.
Les contrôles de 2024 ont généré 5,8 milliards de dirhams, mettant en lumière l’ampleur de la fraude et la volonté de l’État de renforcer sa collecte fiscale.