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Cette augmentation des prix pèse lourdement sur les ménages marocains, ajoutant une pression financière supplémentaire aux citoyens les plus défavorisés. Pour ces familles, la viande est souvent associée à des moments festifs, mais avec les coûts en hausse, beaucoup sont contraints de réduire leur consommation de viande ou de se tourner vers des alternatives moins chères mais potentiellement moins nutritives.
Interrogé à plusieurs reprises sur ce sujet, le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki, reconnaît les défis posés par cette situation mais n'apporte pas de solutions concrètes. Parmi les causes de cette augmentation, on cite la dégradation de la couverture végétale due à divers facteurs tels que les pressions environnementales et les changements climatiques, ainsi que la rareté des ressources alimentaires pour le bétail en raison de la sécheresse, ce qui entraîne inévitablement des coûts de production plus élevés.
Vu par de nombreux activistes comme un moyen de faire pression contre l'inflation et les hausses de prix en général, le mouvement de boycott de la viande rouge, tout comme les précédents, se traduit par une résignation des citoyens face aux prix affichés sur les étals. Ceux qui ne peuvent pas faire autrement se détournent de ces produits. En mobilisant les consommateurs pour qu'ils expriment leur mécontentement à travers leur pouvoir d'achat, cette campagne vise à encourager une réflexion sur des solutions alternatives et durables.
Interrogé à plusieurs reprises sur ce sujet, le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki, reconnaît les défis posés par cette situation mais n'apporte pas de solutions concrètes. Parmi les causes de cette augmentation, on cite la dégradation de la couverture végétale due à divers facteurs tels que les pressions environnementales et les changements climatiques, ainsi que la rareté des ressources alimentaires pour le bétail en raison de la sécheresse, ce qui entraîne inévitablement des coûts de production plus élevés.
Vu par de nombreux activistes comme un moyen de faire pression contre l'inflation et les hausses de prix en général, le mouvement de boycott de la viande rouge, tout comme les précédents, se traduit par une résignation des citoyens face aux prix affichés sur les étals. Ceux qui ne peuvent pas faire autrement se détournent de ces produits. En mobilisant les consommateurs pour qu'ils expriment leur mécontentement à travers leur pouvoir d'achat, cette campagne vise à encourager une réflexion sur des solutions alternatives et durables.