On savait que les Maladies cardiovasculaires, la dépression et le stress étaient des facteurs de risques de la maladie
Le risque de développer la maladie varie en fonction de différents facteurs.Certains ont déjà été prouvés et d’autres sont encore suggérés par de nombreuses études.
On retrouve notamment le manque d’instruction. De plus, les maladies cardiovasculaires telles que l’hypertension artérielle non traitée, les AVC, l’hypercholestérolémie, le diabète, le surpoids ou encore l’obésité, augmenteraient également les risques. Par ailleurs, les troubles du sommeil, la pollution, le tabac et l’alcool sont aussi des facteurs favorables à la maladie.
D’autres facteurs, dont les preuves doivent encore être confirmées, seraient aussi propices à la démence. Parmi eux, nous retrouvons les traumatismes crâniens à répétitions, les dépressions, le stress chronique, une alimentation peu équilibrée ou bien le manque d’activité physique.
On retrouve notamment le manque d’instruction. De plus, les maladies cardiovasculaires telles que l’hypertension artérielle non traitée, les AVC, l’hypercholestérolémie, le diabète, le surpoids ou encore l’obésité, augmenteraient également les risques. Par ailleurs, les troubles du sommeil, la pollution, le tabac et l’alcool sont aussi des facteurs favorables à la maladie.
D’autres facteurs, dont les preuves doivent encore être confirmées, seraient aussi propices à la démence. Parmi eux, nous retrouvons les traumatismes crâniens à répétitions, les dépressions, le stress chronique, une alimentation peu équilibrée ou bien le manque d’activité physique.
Le symptôme apparaîtrait jusqu’à 25 ans avant le déclenchement de la maladie ?
Les sujets retenus pour mener cette étude ont été choisis car ils présentaient un terrain favorable au développement de la maladie. Cela pouvait être lié à un risque héréditaire, à la présence d’un gène les exposant à Alzheimer ou au mode de vie.
Pour mener cette étude, les participants ont porté un casque de réalité virtuelle. L’exercice consistait à se repérer dans l’espace en travaillant leur orientation.
Les chercheurs ont constaté que les personnes ayant le plus de mal à se repérer étaient celles présentant le plus de risques de développer la maladie.
Cependant, une conclusion surprenante de cette étude : En effet, les chercheurs affirment que ce symptôme ne toucherait que les hommes. Ils n’ont pas réussi à prouver que les femmes étaient également concernées.
Source de l’étude : University College of London
Pour mener cette étude, les participants ont porté un casque de réalité virtuelle. L’exercice consistait à se repérer dans l’espace en travaillant leur orientation.
Les chercheurs ont constaté que les personnes ayant le plus de mal à se repérer étaient celles présentant le plus de risques de développer la maladie.
Cependant, une conclusion surprenante de cette étude : En effet, les chercheurs affirment que ce symptôme ne toucherait que les hommes. Ils n’ont pas réussi à prouver que les femmes étaient également concernées.
Source de l’étude : University College of London