Le panel a débuté par une présentation de la vice-présidente de la CG, qui a insisté sur la nécessité d'une représentation féminine accrue dans le secteur. Malgré le potentiel souvent sous-estimé des services, des perspectives optimistes émergent grâce à des initiatives visant à renforcer ce secteur.

L'impact de la technologie sur la vie quotidienne a également été abordé, notamment par le biais des montres connectées qui pourraient transformer la santé et le bien-être des utilisateurs. Les discussions ont mis en lumière comment l'innovation peut créer de nouveaux besoins, influençant ainsi le développement économique.

Une approche basée sur les compétences a été proposée pour le financement et l'accompagnement des acteurs de la formation, en réponse aux changements rapides survenus durant la pandémie de Covid-19. Les intervenants ont souligné l'importance d'un référentiel de compétences agile pour répondre aux besoins des professionnels et des entreprises.

En outre, le panel a discuté des défis liés à la formation continue et à l'innovation, en notant que les jeunes rencontrent des difficultés à trouver un emploi. Une meilleure synchronisation entre la formation et le marché du travail est essentielle pour améliorer cette situation.

Les institutions financières ont également été mises en avant, avec des discussions sur les garanties de financement et les initiatives ciblées pour soutenir l'innovation et l'entrepreneuriat. Le cofinancement pour des projets verts et des initiatives d'entrepreneuriat féminin a été salué comme une avancée majeure.

Enfin, le panel a identifié des opportunités d'emploi dans des secteurs clés tels que l'éducation, la santé et la culture. Le succès de la Fondation marocaine du préscolaire, qui a augmenté le nombre de classes de 3000 à 24000, a été cité comme un modèle à suivre pour générer encore plus d'emplois.