Le secteur des services au Maroc : Diversité, défis et perspectives d'avenir
L'événement a débuté par une analyse approfondie du secteur, mettant en avant son hétérogénéité et les distinctions entre services marchands et non marchands. Les intervenants ont discuté des enjeux structurels qui différencient le Maroc d'autres pays dans la gestion des services. Ils ont également souligné le rôle crucial du secteur dans l'économie marocaine, notamment sa contribution à l'inclusion sociale et à la création d'emplois.
Au fil des discussions, la concentration des services le long de l'axe Tanger-Casablanca a été identifiée comme un défi majeur, avec un manque de présence dans l'intérieur du pays. Les intervenants ont évoqué des attentes de croissance pour les cinq prochaines années, avec des prévisions indiquant que le secteur des services pourrait représenter la moitié du PIB national et continuer à croître grâce à la dématérialisation.
Un autre point clé abordé a été l'importance de se concentrer sur des activités non polluantes et à forte valeur ajoutée, en collaboration avec des ONG pour créer des emplois durables. Les participants ont également proposé de transformer 80 % des autorisations nécessaires en cahiers des charges, facilitant ainsi la création d'offres de services.
Les défis liés à l'informalité et à la corruption ont également été discutés, avec une reconnaissance des opportunités de développement qui existent pour créer des emplois formels. Les intervenants ont plaidé pour une mise à jour de la nomenclature des métiers afin de mieux refléter les besoins du marché et pour une meilleure transparence des données.
Enfin, la nécessité d'une collaboration renforcée entre les acteurs publics et privés a été soulignée pour préparer le secteur à accueillir les événements à venir et structurer l'industrie des services de manière organisée.
Au fil des discussions, la concentration des services le long de l'axe Tanger-Casablanca a été identifiée comme un défi majeur, avec un manque de présence dans l'intérieur du pays. Les intervenants ont évoqué des attentes de croissance pour les cinq prochaines années, avec des prévisions indiquant que le secteur des services pourrait représenter la moitié du PIB national et continuer à croître grâce à la dématérialisation.
Un autre point clé abordé a été l'importance de se concentrer sur des activités non polluantes et à forte valeur ajoutée, en collaboration avec des ONG pour créer des emplois durables. Les participants ont également proposé de transformer 80 % des autorisations nécessaires en cahiers des charges, facilitant ainsi la création d'offres de services.
Les défis liés à l'informalité et à la corruption ont également été discutés, avec une reconnaissance des opportunités de développement qui existent pour créer des emplois formels. Les intervenants ont plaidé pour une mise à jour de la nomenclature des métiers afin de mieux refléter les besoins du marché et pour une meilleure transparence des données.
Enfin, la nécessité d'une collaboration renforcée entre les acteurs publics et privés a été soulignée pour préparer le secteur à accueillir les événements à venir et structurer l'industrie des services de manière organisée.