En 2024, l’Unesco a inscrit plusieurs pratiques africaines comme le henné, l’attiéké et les danses intore au patrimoine immatériel mondial. Ces savoir-faire ancestraux, transmis de génération en génération, symbolisent la richesse culturelle du continent face à la modernisation rapide.
Pour le Maroc, cette reconnaissance rappelle l’importance de préserver des traditions similaires comme le moussem ou la fantasia. La valorisation de ces pratiques ne se limite pas au patrimoine : elle stimule également le tourisme et l’économie locale. Dans un monde globalisé, protéger ces trésors vivants devient un enjeu identitaire majeur.
Pour le Maroc, cette reconnaissance rappelle l’importance de préserver des traditions similaires comme le moussem ou la fantasia. La valorisation de ces pratiques ne se limite pas au patrimoine : elle stimule également le tourisme et l’économie locale. Dans un monde globalisé, protéger ces trésors vivants devient un enjeu identitaire majeur.