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Ouahbi suggère la criminalisation du mariage des mineurs 18/07/2024
Le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a proposé la criminalisation du mariage des mineurs dans le nouveau Code pénal, dans le cadre des réformes du Code de la famille. Cette initiative vise à protéger les droits des enfants et à interdire une pratique nuisible à leur développement et à leur bien-être.
Le débat est vif au sein de la société marocaine, opposant partisans des droits de l'enfant et défenseurs des traditions. La criminalisation du mariage des mineurs représenterait un pas important vers l'égalité des sexes et la protection des jeunes filles, alignant les lois marocaines sur les normes internationales des droits humains.
Le débat est vif au sein de la société marocaine, opposant partisans des droits de l'enfant et défenseurs des traditions. La criminalisation du mariage des mineurs représenterait un pas important vers l'égalité des sexes et la protection des jeunes filles, alignant les lois marocaines sur les normes internationales des droits humains.
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Les retenues sur les salaires des enseignants ont été suspendus
Dans une lettre adressée au Directeur des Dépenses des fonctionnaires à la Trésorerie Générale du Royaume, le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, a décidé de supprimer les retenues sur les salaires des enseignants qui ont été suspendus.
Pour Chakib Benmoussa, leur participation est toujours jugée « injustifiée » aux grèves liées au statut unifié.
Les suspensions et les retenues sur salaire des enseignants grévistes ont suscité un vif débat depuis la signature de l'accord sur le statut unifié des professionnels de l'école publique.
Plus de 200 enseignants ont été suspendus et certains n'ont pas reçu de salaire depuis plus de sept mois, provoquant des manifestations pour dénoncer ces décisions et demander le retour des enseignants suspendus afin de calmer les tensions dans le secteur. Cette initiative vise donc à renforcer le climat positif instauré par les résultats du dialogue social sectoriel.
Pour Chakib Benmoussa, leur participation est toujours jugée « injustifiée » aux grèves liées au statut unifié.
Les suspensions et les retenues sur salaire des enseignants grévistes ont suscité un vif débat depuis la signature de l'accord sur le statut unifié des professionnels de l'école publique.
Plus de 200 enseignants ont été suspendus et certains n'ont pas reçu de salaire depuis plus de sept mois, provoquant des manifestations pour dénoncer ces décisions et demander le retour des enseignants suspendus afin de calmer les tensions dans le secteur. Cette initiative vise donc à renforcer le climat positif instauré par les résultats du dialogue social sectoriel.
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