L’histoire des Lions de l’Atlas à la Coupe du monde de football 2022 est celle d’une équipe qui "embrasse son héritage footballistique", écrit vendredi le prestigieux journal américain.
Dans un article signé Andrew Beaton et Jonathan Clegg, la publication relève que sous la houlette du jeune sélectionneur Walid Regragui, aux commandes depuis quatre mois seulement, l’équipe marocaine "s’est métamorphosée en un adversaire que personne ne veut affronter en cette Coupe du monde", soulignant que le "Guardiola marocain" est le premier entraîneur national qui dirige la sélection marocaine dans une Coupe du monde depuis 1994.
Sacré champion d’Afrique avec le Wydad de Casablanca, Regragui a pris les rênes des Lions de l’Atlas en apportant avec lui une connaissance profonde de l’histoire du football marocain, son championnat local et la mine de talents dont il dispose, fait observer le grand tirage, notant que ce sélectionneur a "reconstruit la confiance" entre toutes les composantes de l'équipe nationale.
Désormais, la sélection marocaine aborde les quarts de finale samedi face aux Portugais de Cristiano Ronaldo comme la seule équipe arabe encore en lice dans la première Coupe du monde de l’histoire tenue sur une terre arabe, indiquent les auteurs de l’article.
En 2009, le Maroc a inauguré l’Académie Mohammed VI de football près de Rabat qui "est devenue l'une des principaux pourvoyeurs de talents en dehors de l'Europe", indique le journal, précisant que quatre membres de la sélection marocaine actuelle sont passés par cette académie, en l’occurrence l'attaquant Youssef En-Nesyri, le milieu de terrain Azzedine Ounahi, le défenseur Nayef Aguerd et le gardien Reda Tagnaouiti.
LODJ avec MAP
Dans un article signé Andrew Beaton et Jonathan Clegg, la publication relève que sous la houlette du jeune sélectionneur Walid Regragui, aux commandes depuis quatre mois seulement, l’équipe marocaine "s’est métamorphosée en un adversaire que personne ne veut affronter en cette Coupe du monde", soulignant que le "Guardiola marocain" est le premier entraîneur national qui dirige la sélection marocaine dans une Coupe du monde depuis 1994.
Sacré champion d’Afrique avec le Wydad de Casablanca, Regragui a pris les rênes des Lions de l’Atlas en apportant avec lui une connaissance profonde de l’histoire du football marocain, son championnat local et la mine de talents dont il dispose, fait observer le grand tirage, notant que ce sélectionneur a "reconstruit la confiance" entre toutes les composantes de l'équipe nationale.
Pour la publication, Regragui "a bien compris qu’outre les tactiques de football, le rajeunissement de l'équipe nationale de football reposait sur la création d'un sentiment d'appartenance".
Désormais, la sélection marocaine aborde les quarts de finale samedi face aux Portugais de Cristiano Ronaldo comme la seule équipe arabe encore en lice dans la première Coupe du monde de l’histoire tenue sur une terre arabe, indiquent les auteurs de l’article.
Evoquant un autre ingrédient de la "success-story" marocaine, à savoir les infrastructures sportives de pointe, le Wall Street Journal relève que le Royaume a fait preuve de détermination pour construire un "réseau de formation des jeunes" qui rivalise avec les grandes nations du football mondial.
En 2009, le Maroc a inauguré l’Académie Mohammed VI de football près de Rabat qui "est devenue l'une des principaux pourvoyeurs de talents en dehors de l'Europe", indique le journal, précisant que quatre membres de la sélection marocaine actuelle sont passés par cette académie, en l’occurrence l'attaquant Youssef En-Nesyri, le milieu de terrain Azzedine Ounahi, le défenseur Nayef Aguerd et le gardien Reda Tagnaouiti.
Et de conclure que la FIFA a qualifié cet édifice de "l'une des académies sportives les plus grandes et les plus performantes au monde".
LODJ avec MAP