Contrairement aux idées reçues, ce type de violence, exercée principalement par les femmes, est en augmentation et touche de nombreux hommes qui, par honte ou crainte du jugement social, préfèrent souffrir en silence.

Cette recherche brise un tabou et révèle que les violences psychologiques, économiques, et parfois physiques, sont bien réelles. Ces résultats interpellent sur la nécessité de repenser les approches de soutien et de sensibilisation pour inclure les hommes victimes, afin de bâtir une société plus équitable où chaque forme de violence est reconnue et combattue.