Ce dynamisme repose principalement sur une bonne campagne agricole estimée à 70 millions de quintaux, propulsant la valeur ajoutée agricole à une croissance de 11 %. Parallèlement, les secteurs non agricoles continueraient à progresser de 3,7 %, consolidant ainsi une relance globale.
Cependant, cette embellie reste fragile et dépend fortement des conditions climatiques. Les exportations, bien que modérées avec une croissance de 7,1 %, pourraient être contrebalancées par une hausse des importations à 6,8 %, impactant négativement le PIB national. La consommation des ménages, facteur clé, devrait contribuer à hauteur de 2,8 points de pourcentage, soutenue par une demande intérieure robuste. Face à cette relance, il reste crucial pour le Maroc de diversifier ses moteurs économiques afin de réduire sa dépendance aux aléas climatiques.
Cependant, cette embellie reste fragile et dépend fortement des conditions climatiques. Les exportations, bien que modérées avec une croissance de 7,1 %, pourraient être contrebalancées par une hausse des importations à 6,8 %, impactant négativement le PIB national. La consommation des ménages, facteur clé, devrait contribuer à hauteur de 2,8 points de pourcentage, soutenue par une demande intérieure robuste. Face à cette relance, il reste crucial pour le Maroc de diversifier ses moteurs économiques afin de réduire sa dépendance aux aléas climatiques.