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Un secteur qui peine à prendre forme… (4.89 Mo)
Un secteur in shape…
Tout prête à croire que le secteur informel peine à prendre forme. Un énoncé qui requiert rectification, car, revu à l’aune des chiffres, ce dernier, glisse, pour ne plus relever du seul constat dressé sur l’œil nu. Des chiffres arrêtés en 2014 par le HCP, mais qui, eu égard des tentacules accaparantes du dit secteur, et qui dérapent sous nos cieux, se voient revus à la hausse, agrémentés d’un aléa de dysfonctions, et de misère.
À se plier aux chiffres, à ce qui en détale comme, ajustement, ou spéculation, , il revient que le secteur informel serait en roue libre. Que ses débordements déteignent partout, hormis sur une assiette fiscale à court d’idées ? Qui puise là où il y a matière à récapituler ce petit monde mal argenté, à le dessaisir de toute désuétude, de toute détournement de regard, à tout caprice qui puisse le porter sur tout objet indigne d’intérêt.
En gros, il faut de l’argent ! Et face à un secteur graisseux, qui emmagasine plus de 28 % de la main ouvrière, il y a raison de le tenir serré, de pomper ce qu’il daigne rendre comme carburant, à faire tourner la machine du pays.
Il faut plus qu’une bonne foi…
Un casse-tête qui ne date pas d’hier, incompatible avec les claquements de doigts, avec les mesurettes, insoluble dans la bonne foi, ou dans les volontés concoctées à la va-vite. C’est dire que ce n’est pas demain la veille, que ce secteur indomptable résorberait tant d’efforts…
Si tant est que ces derniers soient vendeurs. Car que mettons-nous sur table, ou sous-dent, pour attirer dans les filets de notre machine de redistribution de richesse, de ces bonnes gens qui rechignent à prendre à la verticale, comme messe du vendredi, de ces injonctions qui peinent à prendre ?
À les écouter plus en avant, leurs arguments non moins argentés s’éprennent sitôt de notre plaidoyer moralisateur pour n’y voir que pièces ne valant pas un argumentaire. Ceux-ci, tenant sous nez leur calcul, ne badine pas avec les chiffres.
Tout prête à croire que le secteur informel peine à prendre forme. Un énoncé qui requiert rectification, car, revu à l’aune des chiffres, ce dernier, glisse, pour ne plus relever du seul constat dressé sur l’œil nu. Des chiffres arrêtés en 2014 par le HCP, mais qui, eu égard des tentacules accaparantes du dit secteur, et qui dérapent sous nos cieux, se voient revus à la hausse, agrémentés d’un aléa de dysfonctions, et de misère.
À se plier aux chiffres, à ce qui en détale comme, ajustement, ou spéculation, , il revient que le secteur informel serait en roue libre. Que ses débordements déteignent partout, hormis sur une assiette fiscale à court d’idées ? Qui puise là où il y a matière à récapituler ce petit monde mal argenté, à le dessaisir de toute désuétude, de toute détournement de regard, à tout caprice qui puisse le porter sur tout objet indigne d’intérêt.
En gros, il faut de l’argent ! Et face à un secteur graisseux, qui emmagasine plus de 28 % de la main ouvrière, il y a raison de le tenir serré, de pomper ce qu’il daigne rendre comme carburant, à faire tourner la machine du pays.
Il faut plus qu’une bonne foi…
Un casse-tête qui ne date pas d’hier, incompatible avec les claquements de doigts, avec les mesurettes, insoluble dans la bonne foi, ou dans les volontés concoctées à la va-vite. C’est dire que ce n’est pas demain la veille, que ce secteur indomptable résorberait tant d’efforts…
Si tant est que ces derniers soient vendeurs. Car que mettons-nous sur table, ou sous-dent, pour attirer dans les filets de notre machine de redistribution de richesse, de ces bonnes gens qui rechignent à prendre à la verticale, comme messe du vendredi, de ces injonctions qui peinent à prendre ?
À les écouter plus en avant, leurs arguments non moins argentés s’éprennent sitôt de notre plaidoyer moralisateur pour n’y voir que pièces ne valant pas un argumentaire. Ceux-ci, tenant sous nez leur calcul, ne badine pas avec les chiffres.
Quelle solution pour quel problème ?
De ces chiffres qui font vite de virer en charges, qui vous dépeignent couleur morose, tout ce qui pèse lourd en terme de salariés, ou de taxes, dans leur petit carnet de commerçant. Ce n’est pas pour faire l’économie des mots que nous mettons en orbite, ici, notre démonstration autour du seul commerce.
La raison, ici, est appuyé par la force du chiffre. Car le commerce s’accapare à lui seul de la moitié des activités de l’informel. Ces bonnes gens que le carré dérange, raison en est, ce carcan d’obligations, pour eux, de mauvaise nature, ou facture, car pécunières.
Des obligations qui échapperaient au bon sens, qui peinent à tenir sur leur balance, qui fait vite de rompre l’équilibre des recettes et dépenses. Ceux-là vous disent en clair, que leur bonhomie ne peut prendre sur elle-même, s’aventurer jusqu’à déclarer au SMIG ses salariés, ne peut souffrir de casquer en TVA ce qu’elle peut garder au chaud comme réserve, que même un bon circuit allergique aux factures serait improvisé entre approvisionneurs et approvisionnés, que pour un secteur qui compte dans les 11 % de notre PIB il y a bonne fuite…
Hicham Aboumerrouane
De ces chiffres qui font vite de virer en charges, qui vous dépeignent couleur morose, tout ce qui pèse lourd en terme de salariés, ou de taxes, dans leur petit carnet de commerçant. Ce n’est pas pour faire l’économie des mots que nous mettons en orbite, ici, notre démonstration autour du seul commerce.
La raison, ici, est appuyé par la force du chiffre. Car le commerce s’accapare à lui seul de la moitié des activités de l’informel. Ces bonnes gens que le carré dérange, raison en est, ce carcan d’obligations, pour eux, de mauvaise nature, ou facture, car pécunières.
Des obligations qui échapperaient au bon sens, qui peinent à tenir sur leur balance, qui fait vite de rompre l’équilibre des recettes et dépenses. Ceux-là vous disent en clair, que leur bonhomie ne peut prendre sur elle-même, s’aventurer jusqu’à déclarer au SMIG ses salariés, ne peut souffrir de casquer en TVA ce qu’elle peut garder au chaud comme réserve, que même un bon circuit allergique aux factures serait improvisé entre approvisionneurs et approvisionnés, que pour un secteur qui compte dans les 11 % de notre PIB il y a bonne fuite…
Hicham Aboumerrouane