Les saveurs marocaines
La chaîne française France 5 a diffusé dans son émission «le doc conso», ce mardi 19 avril 2022 à 21h, un documentaire où les spectateurs pourront partir à la découverte des saveurs de la gastronomie du Maroc, de Marrakech à Paris.
La réalisatrice Aurélie Bloch nous entraîne dans un voyage savoureux à travers la cuisine marocaine.
La chaîne française France 5 a diffusé dans son émission «le doc conso», ce mardi 19 avril 2022 à 21h, un documentaire où les spectateurs pourront partir à la découverte des saveurs de la gastronomie du Maroc, de Marrakech à Paris.
La réalisatrice Aurélie Bloch nous entraîne dans un voyage savoureux à travers la cuisine marocaine.
« Mais si la cuisine marocaine figure aujourd'hui parmi les plus appréciées des Français, elle est encore trop souvent résumée au diptyque couscous-tagine», explique-t-on sur le site de France Télévisions, en précisant qu’«elle regorge pourtant de trésors insoupçonnés».
Des recettes ancestrales
De Paris à la place Jemaa El-Fna de Marrakech, en passant par la médina de Fès et la région d’Essaouira riche en arganiers, ce documentaire suit notamment les pas de Fatéma Hal. Cette chef née à Oujda, à l’est du Maroc, il y a soixante-dix ans, est connue pour avoir ouvert en 1984 l’un des premiers restaurants marocains de France, le Mansouria (Paris 11e), alors qualifié, à son grand désarroi, d’«oriental».
Les temps ont changé, les cuisines du monde ont fleuri dans la capitale, mais Mme Hal craint toujours que les recettes ancestrales de son pays d’origine, transmises oralement de mères en filles, ne disparaissent.
On la suit sur le marché à Marrakech, choisir des feuilles d’absinthe pour parfumer le thé et vanter le Ras el-hanout, cette composition « et non un pas un mélange ! » de vingt-sept épices.
L’huile d’argan, « or liquide »
Une longue séquence s’intéresse enfin à l’huile d’argan, de sa production, en grande partie toujours manuelle et féminine, à son utilisation alimentaire. Où l’on découvre que cet « or liquide » inspire, grâce à ses notes de noisette, les étoilés français comme Giuliano Sperandio chez Taillevent.
C’est donc aussi une occasion pour les gourmands, a-t-on annoncé sur le même site, de découvrir "la cuisine dorée du Maroc et ses mille et une épices" ainsi que "les secrets d’une des meilleures gastronomies au monde".
L'odj avec SNRTnews
De Paris à la place Jemaa El-Fna de Marrakech, en passant par la médina de Fès et la région d’Essaouira riche en arganiers, ce documentaire suit notamment les pas de Fatéma Hal. Cette chef née à Oujda, à l’est du Maroc, il y a soixante-dix ans, est connue pour avoir ouvert en 1984 l’un des premiers restaurants marocains de France, le Mansouria (Paris 11e), alors qualifié, à son grand désarroi, d’«oriental».
Les temps ont changé, les cuisines du monde ont fleuri dans la capitale, mais Mme Hal craint toujours que les recettes ancestrales de son pays d’origine, transmises oralement de mères en filles, ne disparaissent.
On la suit sur le marché à Marrakech, choisir des feuilles d’absinthe pour parfumer le thé et vanter le Ras el-hanout, cette composition « et non un pas un mélange ! » de vingt-sept épices.
L’huile d’argan, « or liquide »
Une longue séquence s’intéresse enfin à l’huile d’argan, de sa production, en grande partie toujours manuelle et féminine, à son utilisation alimentaire. Où l’on découvre que cet « or liquide » inspire, grâce à ses notes de noisette, les étoilés français comme Giuliano Sperandio chez Taillevent.
C’est donc aussi une occasion pour les gourmands, a-t-on annoncé sur le même site, de découvrir "la cuisine dorée du Maroc et ses mille et une épices" ainsi que "les secrets d’une des meilleures gastronomies au monde".
L'odj avec SNRTnews