Ce site, qui a vu une occupation humaine s’étendre de 120 000 à 12 000 ans, continue de dévoiler des secrets fascinants sur les anciennes civilisations. La dernière découverte en date, annoncée par une équipe internationale de chercheurs, est tout simplement révolutionnaire : elle révèle la plus ancienne utilisation médicinale des plantes au monde.
Une découverte exceptionnelle dans un site millénaire
Les fouilles ont permis de mettre au jour des traces d’utilisation médicinale de l’Ephedra, une plante connue pour ses propriétés curatives. Ces vestiges, datant de 15 000 ans, ont été découverts dans une zone dédiée aux inhumations selon des rites précis. Cette découverte atteste que les communautés humaines du Paléolithique supérieur possédaient déjà des connaissances approfondies sur les plantes et leur potentiel thérapeutique. L’Ephedra aurait été utilisée pour soulager la douleur, arrêter les saignements ou encore anesthésier, témoignant d’une compréhension avancée de la médecine naturelle.
Une avancée scientifique et patrimoniale
Cette trouvaille ne se limite pas à enrichir nos connaissances sur l’évolution des pratiques médicales. Elle positionne également le Maroc comme un acteur clé dans la recherche archéologique mondiale. La grotte des Pigeons devient ainsi un site incontournable pour comprendre l’interaction entre l’être humain et son environnement à travers les âges. Les chercheurs ont également découvert sur ce site la plus ancienne sépulture humaine de la culture ibéromaurusienne et des bijoux symboliques, témoins d’une vie culturelle et spirituelle riche.
Un levier pour le développement local
Au-delà de son importance scientifique, cette découverte ouvre des perspectives prometteuses pour le développement local. La grotte des Pigeons pourrait devenir un pôle d’attraction pour le tourisme culturel et scientifique, renforçant ainsi l’économie de la région. Les autorités et les chercheurs appellent à une reconnaissance internationale du site, notamment par son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Une richesse encore inexplorée
Selon Hassan Talbi, professeur à l’université Mohammed Premier d’Oujda, cette grotte a déjà révélé des découvertes majeures, comme la trace de la plus ancienne opération chirurgicale réussie au monde. Pourtant, elle n’a pas encore livré tous ses secrets. Les efforts conjoints des chercheurs marocains et internationaux mettent en lumière l’importance de préserver ce patrimoine unique, qui pourrait continuer à éclairer l’histoire de l’humanité.
Une découverte exceptionnelle dans un site millénaire
Les fouilles ont permis de mettre au jour des traces d’utilisation médicinale de l’Ephedra, une plante connue pour ses propriétés curatives. Ces vestiges, datant de 15 000 ans, ont été découverts dans une zone dédiée aux inhumations selon des rites précis. Cette découverte atteste que les communautés humaines du Paléolithique supérieur possédaient déjà des connaissances approfondies sur les plantes et leur potentiel thérapeutique. L’Ephedra aurait été utilisée pour soulager la douleur, arrêter les saignements ou encore anesthésier, témoignant d’une compréhension avancée de la médecine naturelle.
Une avancée scientifique et patrimoniale
Cette trouvaille ne se limite pas à enrichir nos connaissances sur l’évolution des pratiques médicales. Elle positionne également le Maroc comme un acteur clé dans la recherche archéologique mondiale. La grotte des Pigeons devient ainsi un site incontournable pour comprendre l’interaction entre l’être humain et son environnement à travers les âges. Les chercheurs ont également découvert sur ce site la plus ancienne sépulture humaine de la culture ibéromaurusienne et des bijoux symboliques, témoins d’une vie culturelle et spirituelle riche.
Un levier pour le développement local
Au-delà de son importance scientifique, cette découverte ouvre des perspectives prometteuses pour le développement local. La grotte des Pigeons pourrait devenir un pôle d’attraction pour le tourisme culturel et scientifique, renforçant ainsi l’économie de la région. Les autorités et les chercheurs appellent à une reconnaissance internationale du site, notamment par son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Une richesse encore inexplorée
Selon Hassan Talbi, professeur à l’université Mohammed Premier d’Oujda, cette grotte a déjà révélé des découvertes majeures, comme la trace de la plus ancienne opération chirurgicale réussie au monde. Pourtant, elle n’a pas encore livré tous ses secrets. Les efforts conjoints des chercheurs marocains et internationaux mettent en lumière l’importance de préserver ce patrimoine unique, qui pourrait continuer à éclairer l’histoire de l’humanité.