La magistrate a considéré que son tribunal n'avait pas "la compétence ni la juridiction" pour interdire de possibles sanctions. "Il revient à ces organismes disciplinaires (de l'UEFA, NDLR) et aux arbitres indépendants du TAS (Tribunal arbitral du sport, NDLR) de trancher sur les possibles sanctions contre les clubs", est-il indiqué dans le document. "Les clubs concernés pourront s'y opposer en sollicitant les mesures de protection adéquates", précise le communiqué.
La magistrate considère également que "la menace de sanctions visant les trois clubs subsistants ne conduit pas à une impossibilité de mener le projet à bien, dont le financement est indépendant".
Les mesures préventives levées par la juge empêchaient jusqu'ici la Fifa et l'UEFA, ainsi que les championnats et les fédérations nationales, de prendre des mesures pour exclure les joueurs et les clubs qui ont participé à la création de la Super Ligue.
Après l'annonce il y a un an du projet de Super Ligue, une ligue semi-fermée promue par douze clubs fondateurs qui s'étaient peu à peu désolidarisés du projet (sauf le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus Turin), la menace de l'expulsion avait été brandie par les principaux organismes en charge du football européen.
Arsenal, Chelsea, Tottenham, Liverpool, Manchester City, Manchester United, l'Atlético de Madrid, l'AC Milan et l'Inter Milan avaient abandonné le navire face à la levée de boucliers des supporters, des championnats nationaux, des fédérations et même de certains gouvernements. Ses promoteurs ont indiqué que le projet était remis à plus tard mais en aucun cas enterré.
Les clubs de la Super Ligue avaient approché le tribunal de commerce de Madrid, qui avait ordonné des mesures préventives désormais annulées par la juge Sofia Gil en attendant que le fond du sujet soit tranché.
Cette magistrate avait succédé il y a quelques mois à Manuel Ruiz de Lara, le juge qui avait initialement ordonné ces mesures préventives.
LODJ avec AFP
La magistrate considère également que "la menace de sanctions visant les trois clubs subsistants ne conduit pas à une impossibilité de mener le projet à bien, dont le financement est indépendant".
Les mesures préventives levées par la juge empêchaient jusqu'ici la Fifa et l'UEFA, ainsi que les championnats et les fédérations nationales, de prendre des mesures pour exclure les joueurs et les clubs qui ont participé à la création de la Super Ligue.
Après l'annonce il y a un an du projet de Super Ligue, une ligue semi-fermée promue par douze clubs fondateurs qui s'étaient peu à peu désolidarisés du projet (sauf le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus Turin), la menace de l'expulsion avait été brandie par les principaux organismes en charge du football européen.
Arsenal, Chelsea, Tottenham, Liverpool, Manchester City, Manchester United, l'Atlético de Madrid, l'AC Milan et l'Inter Milan avaient abandonné le navire face à la levée de boucliers des supporters, des championnats nationaux, des fédérations et même de certains gouvernements. Ses promoteurs ont indiqué que le projet était remis à plus tard mais en aucun cas enterré.
Les clubs de la Super Ligue avaient approché le tribunal de commerce de Madrid, qui avait ordonné des mesures préventives désormais annulées par la juge Sofia Gil en attendant que le fond du sujet soit tranché.
Cette magistrate avait succédé il y a quelques mois à Manuel Ruiz de Lara, le juge qui avait initialement ordonné ces mesures préventives.
LODJ avec AFP