Le Napoli peut désormais se permettre pas moins de six défaites lors des quatorze dernières journées restantes sans perdre sa première place. A ce rythme, il pourrait décrocher dès fin avril ou début mai le troisième scudetto de son histoire, après les deux de l'époque Maradona (1987, 1990).
L'Inter, éteinte quatre jours après la débauche d'énergie pour dominer le FC Porto (1-0) en huitième de finale aller de Ligue des champions, a craqué à un quart d'heure de la fin sur une frappe en force de Riccardo Orsolini (76e), seul devant André Onana après une relance ratée du défenseur nerazzurro Danilo D'Ambrosio.
Le stade Renato-Dall'Ara se confirme comme un stade compliqué pour l'entraîneur milanais. C'est déjà à Bologne que son Inter avait perdu le titre la saison dernière à cause d'une défaite surprise en avril (2-1) due à une grosse erreur du gardien remplaçant Andrei Ionut Radu.
L'Inter a encore été souvent bousculée par une belle équipe de Bologne, qui avait déjà failli marquer deux fois en première période "insuffisante", dixit Inzaghi, sur un but de Musa Barrow (12e) refusé après intervention de la VAR pour un hors-jeu d'un partenaire, puis sur un tir sur la barre de Roberto Soriano (18e).
Romelu Lukaku puis Edin Dzeko ont buté en seconde période sur le portier rossoblu lors d'un match disputé sur une pelouse détrempée.
Bologne, étrillé début novembre par cette même Inter (6-1) à San Siro, confirme son renouveau depuis la mi-janvier et remonte à la 7e place, à proximité des strapontins européens.
Pour le grand plaisir de son entraîneur Thiago Motta: "Je suis fier de voir la symbiose qui s'est créée autour de l'équipe, de voir les supporters chanter ainsi."
L'Inter peut être rejointe à la 2e place par la Roma (3e) et l'AC Milan (4e), à l'affût à trois points.
Les Rossoneri, avec le retour attendu dans la cage de Mike Maignan après cinq mois loin des terrains, accueillent dianche soir l'Atalanta Bergame (6e).
Les Giallorossi se déplaceront mardi chez la Cremonese, lanterne rouge toujours sans victoire.
LODJ avec AFP
L'Inter, éteinte quatre jours après la débauche d'énergie pour dominer le FC Porto (1-0) en huitième de finale aller de Ligue des champions, a craqué à un quart d'heure de la fin sur une frappe en force de Riccardo Orsolini (76e), seul devant André Onana après une relance ratée du défenseur nerazzurro Danilo D'Ambrosio.
"On a pris un but à ne pas prendre. On est énervés parce que, certes on arrivait d'un match épuisant, mais on doit clairement faire mieux", a pesté Simone Inzaghi sur Sky Sport.
Le stade Renato-Dall'Ara se confirme comme un stade compliqué pour l'entraîneur milanais. C'est déjà à Bologne que son Inter avait perdu le titre la saison dernière à cause d'une défaite surprise en avril (2-1) due à une grosse erreur du gardien remplaçant Andrei Ionut Radu.
L'Inter a encore été souvent bousculée par une belle équipe de Bologne, qui avait déjà failli marquer deux fois en première période "insuffisante", dixit Inzaghi, sur un but de Musa Barrow (12e) refusé après intervention de la VAR pour un hors-jeu d'un partenaire, puis sur un tir sur la barre de Roberto Soriano (18e).
Romelu Lukaku puis Edin Dzeko ont buté en seconde période sur le portier rossoblu lors d'un match disputé sur une pelouse détrempée.
Bologne, étrillé début novembre par cette même Inter (6-1) à San Siro, confirme son renouveau depuis la mi-janvier et remonte à la 7e place, à proximité des strapontins européens.
Pour le grand plaisir de son entraîneur Thiago Motta: "Je suis fier de voir la symbiose qui s'est créée autour de l'équipe, de voir les supporters chanter ainsi."
L'Inter peut être rejointe à la 2e place par la Roma (3e) et l'AC Milan (4e), à l'affût à trois points.
Les Rossoneri, avec le retour attendu dans la cage de Mike Maignan après cinq mois loin des terrains, accueillent dianche soir l'Atalanta Bergame (6e).
Les Giallorossi se déplaceront mardi chez la Cremonese, lanterne rouge toujours sans victoire.
LODJ avec AFP