Le Barça n'a jamais eu "pour objectif final ou pour intention de fausser la compétition", a insisté le dirigeant catalan lors d'une conférence de presse sur le rôle du FC Barcelone dans une affaire de paiements à un ancien haut responsable arbitral.
Le FC Barcelone se trouve dans la tourmente depuis la révélation début février par des médias espagnols de versements d'argent suspects effectués vers des entreprises détenues par l'ancien N.2 de l'arbitrage espagnol, Jose Maria Enriquez Negreira.
Ces révélations ont conduit la justice espagnole à inculper mi-mars le club catalan et ses anciens présidents Josep Maria Bartomeu (2014-2020) et Sandro Rosell (2010-2014) pour "corruption entre particuliers dans le secteur sportif", "abus de confiance" et "faux en écritures de commerce".
D'après le parquet, le club catalan aurait versé plus de 7,3 millions d'euros à M. Negreira entre 2001 et 2018, en échange de conseils sur des questions arbitrales. Ces paiements auraient été interrompus quand M. Negreira a quitté ses fonctions au sein du comité technique arbitral (CTA) espagnol.
Des accusations rejetées lundi par Joan Laporta, pour qui le parquet "n'a pas été en mesure de démontrer que les paiements effectués aux sociétés" détenues par M. Negreira "aient pu influencer les arbitres ou le résultat de quelque match que ce soit".
Le président du FC Barcelone avait déjà assuré dimanche lors d'une assemblée de clubs de supporters du Barça que la justice n'avait "rien" contre le Barça dans cette affaire.
Le club "n'avait pas la capacité de désigner des arbitres" et n'était donc pas en mesure de "modifier les résultats sportifs", a insisté M. Laporta.
Le FC Barcelone se trouve dans la tourmente depuis la révélation début février par des médias espagnols de versements d'argent suspects effectués vers des entreprises détenues par l'ancien N.2 de l'arbitrage espagnol, Jose Maria Enriquez Negreira.
Ces révélations ont conduit la justice espagnole à inculper mi-mars le club catalan et ses anciens présidents Josep Maria Bartomeu (2014-2020) et Sandro Rosell (2010-2014) pour "corruption entre particuliers dans le secteur sportif", "abus de confiance" et "faux en écritures de commerce".
D'après le parquet, le club catalan aurait versé plus de 7,3 millions d'euros à M. Negreira entre 2001 et 2018, en échange de conseils sur des questions arbitrales. Ces paiements auraient été interrompus quand M. Negreira a quitté ses fonctions au sein du comité technique arbitral (CTA) espagnol.
Le Barça "a conclu et maintenu un accord verbal strictement confidentiel" avec Negreira "afin qu'en sa qualité de vice-président du CTA et en échange d'argent, il mène des actions tendant à favoriser le FCB (...) et donc dans les résultats des compétitions", a assuré le parquet dans un document judiciaire.
Des accusations rejetées lundi par Joan Laporta, pour qui le parquet "n'a pas été en mesure de démontrer que les paiements effectués aux sociétés" détenues par M. Negreira "aient pu influencer les arbitres ou le résultat de quelque match que ce soit".
"Ils n'ont pas pu le démontrer car ce n'était pas possible", a insisté le président du Barça, en assurant que les services pour lesquels le club a effectué des paiements étaient légaux et documentés. "Il n'y a pas eu de délit de corruption", a-t-il insisté.
Le président du FC Barcelone avait déjà assuré dimanche lors d'une assemblée de clubs de supporters du Barça que la justice n'avait "rien" contre le Barça dans cette affaire.