Le psicobloc —ou de son nom anglais “deep-water soloing” (DWS)— est une activité intense qui regroupe deux sports extrêmes. C’est une sous-discipline de l’escalade qui ajoute un élément de nouveauté au solo traditionnel. Pour ceux qui ne s’y connaissent pas beaucoup, le soloing est un type d’escalade libre qui se fait sans corde, ni matériel. Le psicobloc est donc une variante du même exercice. La seule différence ? Il se fait au dessus de l’eau ouverte.
Ce sport est communément pratiqué en pleine nature. Pour que la chute soit plus supportable, les grimpeurs ont souvent une préférence pour les régions où l’eau est chaude. C’est d’ailleurs pour cette raison-là que le psicobloc est beaucoup plus présent en Grèce, en Espagne et en France qu’autre part. Le climat plutôt ensoleillé leur fournit les conditions adéquates pour une bonne escalade avec un parfait saut.
En revanche, dû à son statut officiel de sport, le DWS a également droit à des compétitions. Pour cela, il est pratiqué sur des murs artificiels (souvent bombés, pour imiter les reliefs des falaises naturelles). Deux grimpeurs doivent ainsi faire preuve de grande vitesse en gravissant un mur, pour ensuite sauter dans une piscine.
Le premier arrivé en bas gagne. La première compétition de ce type qui a été organisée est celle de Salt Lake City, qui a eu lieu en 2013. Quant à la dernière, elle a eu lieu en août dernier, dans la métropole québécoise, Montréal. Les meilleurs professionnels du domaine ont répondu présents à l’invitation, participant ainsi à un événement hors pair.
Bien que l’eau joue le rôle d’un coussin de protection que le solo intégral ne fournit pas, on ne peut ignorer le danger qu’elle peut représenter. Effectivement, l’impact sur l’eau d’une telle hauteur peut aussi avoir des répercussions sur le grimpeur. Par conséquent, afin de garantir la sécurité des participants, les conditions du deep-water soloing sont les suivantes : la falaise (ou le mur) que l’escaladeur doit gravir ne doit pas dépasser les 15 mètres.
Quant à l’eau, elle doit être la plus profonde possible et ne doit contenir aucun bloc rocheux susceptible de blesser le grimpeur. Il est également nécessaire d’avoir une personne sur une barque dans l’eau, prête à intervenir en cas d’accident.
Ainsi, les adeptes du psicobloc le considère comme la forme la plus pure d’escalade. Il donne la possibilité de grimper sans équipement encombrant, tout en fournissant un certain niveau de sécurité, grâce à l’eau qui se trouve en dessous.
LODJ avec Outdooors
Ce sport est communément pratiqué en pleine nature. Pour que la chute soit plus supportable, les grimpeurs ont souvent une préférence pour les régions où l’eau est chaude. C’est d’ailleurs pour cette raison-là que le psicobloc est beaucoup plus présent en Grèce, en Espagne et en France qu’autre part. Le climat plutôt ensoleillé leur fournit les conditions adéquates pour une bonne escalade avec un parfait saut.
En revanche, dû à son statut officiel de sport, le DWS a également droit à des compétitions. Pour cela, il est pratiqué sur des murs artificiels (souvent bombés, pour imiter les reliefs des falaises naturelles). Deux grimpeurs doivent ainsi faire preuve de grande vitesse en gravissant un mur, pour ensuite sauter dans une piscine.
Le premier arrivé en bas gagne. La première compétition de ce type qui a été organisée est celle de Salt Lake City, qui a eu lieu en 2013. Quant à la dernière, elle a eu lieu en août dernier, dans la métropole québécoise, Montréal. Les meilleurs professionnels du domaine ont répondu présents à l’invitation, participant ainsi à un événement hors pair.
Bien que l’eau joue le rôle d’un coussin de protection que le solo intégral ne fournit pas, on ne peut ignorer le danger qu’elle peut représenter. Effectivement, l’impact sur l’eau d’une telle hauteur peut aussi avoir des répercussions sur le grimpeur. Par conséquent, afin de garantir la sécurité des participants, les conditions du deep-water soloing sont les suivantes : la falaise (ou le mur) que l’escaladeur doit gravir ne doit pas dépasser les 15 mètres.
Quant à l’eau, elle doit être la plus profonde possible et ne doit contenir aucun bloc rocheux susceptible de blesser le grimpeur. Il est également nécessaire d’avoir une personne sur une barque dans l’eau, prête à intervenir en cas d’accident.
Ainsi, les adeptes du psicobloc le considère comme la forme la plus pure d’escalade. Il donne la possibilité de grimper sans équipement encombrant, tout en fournissant un certain niveau de sécurité, grâce à l’eau qui se trouve en dessous.
LODJ avec Outdooors