Le CESE préconise une redynamisation de la vie associative au Maroc, appelant à des évolutions juridiques, structurelles, financières et fiscales. Cela inclut l'adaptation du droit d’association à la Constitution de 2011, des critères clairs pour la reconnaissance d’utilité publique, et la facilitation de l'autorisation d’ester en justice.
Le Conseil suggère également des partenariats État/associations axés sur la bonne gouvernance et l'accès aux financements publics, ainsi que la délégation de la gestion de certains services publics aux associations. Sur le plan financier, il recommande d'accroître les fonds publics, favoriser les financements pluriannuels, et exonérer fiscalement les activités économiques des associations. En outre, le CESE propose d'encourager l'emploi associatif et d'autoriser des dons déductibles d'impôts pour soutenir les associations.
Le Conseil suggère également des partenariats État/associations axés sur la bonne gouvernance et l'accès aux financements publics, ainsi que la délégation de la gestion de certains services publics aux associations. Sur le plan financier, il recommande d'accroître les fonds publics, favoriser les financements pluriannuels, et exonérer fiscalement les activités économiques des associations. En outre, le CESE propose d'encourager l'emploi associatif et d'autoriser des dons déductibles d'impôts pour soutenir les associations.