Une nouvelle étude révèle que les pesticides néonicotinoïdes affectent les abeilles sauvages différemment des abeilles domestiques, soulignant une grande variabilité de vulnérabilité non prise en compte par la réglementation actuelle.
Les tests se concentrent principalement sur les abeilles domestiques, qui sont moins sensibles que certaines abeilles sauvages. Cela pourrait sous-estimer les risques écologiques pour de nombreux pollinisateurs. Les chercheurs appellent à des méthodes d'évaluation plus précises et inclusives pour protéger efficacement la biodiversité.
Les tests se concentrent principalement sur les abeilles domestiques, qui sont moins sensibles que certaines abeilles sauvages. Cela pourrait sous-estimer les risques écologiques pour de nombreux pollinisateurs. Les chercheurs appellent à des méthodes d'évaluation plus précises et inclusives pour protéger efficacement la biodiversité.