Une jeunesse en quête de dignité / Trop de souffrances, pas assez d'actions
Les récents événements tragiques à Fnidek, où des tentatives d’immigration clandestine vers Ceuta Ceuta ont failli coûter la vie à de nombreux jeunes marocains, soulignent un profond malaise sociétal.
Ces drames ne sont que la face visible de l'iceberg d'un problème plus vaste qui gangrène la jeunesse marocaine, en particulier les NEET (Not in Education, Employment, or Training). Leurs revendications sont claires et urgentes : ils ne demandent pas des discours vides ou des promesses non tenues, mais des réformes structurelles et concrètes pour garantir leur dignité.
Ce que veulent les NEET marocains, ce n’est pas une simple « confiture » pour adoucir temporairement leur quotidien. Ils réclament du travail décent, qui puisse leur offrir une stabilité et une place dans la société. Le chômage des jeunes, aggravé par un manque de formations adaptées, les pousse à l’immobilisme et à la frustration. Le manque d'opportunités génère un désespoir profond qui conduit certains à risquer leur vie pour franchir des frontières dangereuses.
Les NEET ne se contentent pas de demander du travail. Ils aspirent également à des universités et des écoles de qualité. L’éducation est un des moteurs essentiels pour sortir de cette impasse, mais le système éducatif marocain souffre de nombreuses lacunes. L’accès à des établissements performants et équitables reste un privilège pour une minorité, tandis que la majorité se débat dans des institutions manquant de ressources.
Au-delà des infrastructures, ces jeunes réclament de la justice, de l’équité et de la probité. Ils veulent vivre dans un Maroc où la corruption ne freine plus leur ascension sociale, où les richesses nationales sont mieux redistribuées et où les politiques publiques profitent à tous, et non à quelques privilégiés.
Les besoins des NEET ne s’arrêtent pas à l’éducation et au travail. Ils demandent également des hôpitaux fonctionnels, des logements décents à bas coût, un urbanisme visionnaire et des transports efficients. Ce sont autant de revendications pour un avenir meilleur, plus juste et plus digne.
Les discours, eux, ne suffisent plus. Il y a trop de souffrances, trop de vies sacrifiées sur l’autel de l’indifférence et des politiques à courte vue. Les jeunes NEET de Fnidek, comme ailleurs au Maroc, veulent des actions concrètes.
Ces drames ne sont que la face visible de l'iceberg d'un problème plus vaste qui gangrène la jeunesse marocaine, en particulier les NEET (Not in Education, Employment, or Training). Leurs revendications sont claires et urgentes : ils ne demandent pas des discours vides ou des promesses non tenues, mais des réformes structurelles et concrètes pour garantir leur dignité.
Ce que veulent les NEET marocains, ce n’est pas une simple « confiture » pour adoucir temporairement leur quotidien. Ils réclament du travail décent, qui puisse leur offrir une stabilité et une place dans la société. Le chômage des jeunes, aggravé par un manque de formations adaptées, les pousse à l’immobilisme et à la frustration. Le manque d'opportunités génère un désespoir profond qui conduit certains à risquer leur vie pour franchir des frontières dangereuses.
Les NEET ne se contentent pas de demander du travail. Ils aspirent également à des universités et des écoles de qualité. L’éducation est un des moteurs essentiels pour sortir de cette impasse, mais le système éducatif marocain souffre de nombreuses lacunes. L’accès à des établissements performants et équitables reste un privilège pour une minorité, tandis que la majorité se débat dans des institutions manquant de ressources.
Au-delà des infrastructures, ces jeunes réclament de la justice, de l’équité et de la probité. Ils veulent vivre dans un Maroc où la corruption ne freine plus leur ascension sociale, où les richesses nationales sont mieux redistribuées et où les politiques publiques profitent à tous, et non à quelques privilégiés.
Les besoins des NEET ne s’arrêtent pas à l’éducation et au travail. Ils demandent également des hôpitaux fonctionnels, des logements décents à bas coût, un urbanisme visionnaire et des transports efficients. Ce sont autant de revendications pour un avenir meilleur, plus juste et plus digne.
Les discours, eux, ne suffisent plus. Il y a trop de souffrances, trop de vies sacrifiées sur l’autel de l’indifférence et des politiques à courte vue. Les jeunes NEET de Fnidek, comme ailleurs au Maroc, veulent des actions concrètes.