Selon le Parisien, qui a révélé l'information, cette mère de famille brésilienne réclame 368.000 euros d'indemnisation auprès du conseil des prud'hommes.
De janvier 2021 à octobre 2022, "Neymar a exploité la précarité de notre cliente pour lui imposer des conditions de travail indignes, en violation des règles élémentaires du droit du travail", écrivent ses avocats Mes Caroline Toby et Vincent Champetier dans une déclaration transmise à l'AFP.
L'emploi de cette travailleuse sans titre de séjour et à temps partiel, qui aurait dû être requalifié en emploi à temps plein en raison du nombre d'heures effectuées, n'a fait l'objet d'aucune déclaration, selon les mêmes sources.
Selon Mes Toby et Champetier, Neymar s'est rendu coupable de "violation évidente des règles légales de protection attachée à la maternité". Son éviction après l'accouchement "l'a laissée dans un total dénuement, du fait notamment de son absence de déclaration auprès des organismes sociaux", écrivent-ils dans un courrier daté de juin et consulté par l'AFP, qui proposait une résolution à l'amiable mais est resté sans réponse.
Contacté par l'AFP, l'entourage de Neymar n'avait pas donné suite mercredi soir.
De janvier 2021 à octobre 2022, "Neymar a exploité la précarité de notre cliente pour lui imposer des conditions de travail indignes, en violation des règles élémentaires du droit du travail", écrivent ses avocats Mes Caroline Toby et Vincent Champetier dans une déclaration transmise à l'AFP.
L'emploi de cette travailleuse sans titre de séjour et à temps partiel, qui aurait dû être requalifié en emploi à temps plein en raison du nombre d'heures effectuées, n'a fait l'objet d'aucune déclaration, selon les mêmes sources.
"Nous déplorons qu'une telle personnalité ait pu faire preuve d'autant d'inhumanité, allant même jusqu'à chasser notre cliente de chez lui à quelques jours d'accoucher de façon prématurée, alors qu'elle se plaignait de douleurs", ajoutent les avocats.
Selon Mes Toby et Champetier, Neymar s'est rendu coupable de "violation évidente des règles légales de protection attachée à la maternité". Son éviction après l'accouchement "l'a laissée dans un total dénuement, du fait notamment de son absence de déclaration auprès des organismes sociaux", écrivent-ils dans un courrier daté de juin et consulté par l'AFP, qui proposait une résolution à l'amiable mais est resté sans réponse.
"Après avoir saisi la juridiction prud'homale, nous envisageons désormais de donner à ce dossier les suites pénales qu'il mérite", ont encore prévenu les avocats mercredi.
Contacté par l'AFP, l'entourage de Neymar n'avait pas donné suite mercredi soir.