Motivées, combatives et surtout solidaires, les Lioncelles de l’Atlas assurent vouloir donner le meilleur d’elle mêmes pour aller le plus loin possible dans cette joute mondiale.
Pour les protégées d’Anthony Rimasson ayant assuré leur qualification à cette 7ème édition à l’issue d’une remontada historique à Rabat aux dépens du Ghana, l’enjeu est de taille. Croiser le fer avec le Brésil et les Etats-Unis au premier tour semble une tâche des plus ardues, mais l’esprit de défiance et le travail de longue haleine seraient la recette gagnante du Onze national.
Si les Marocaines font leur première parution dans cette manifestation sportive, les Bersilliennes en sont à leur 6e participation alors que les Américaines, finalistes de l’édition inaugurale de 2008, font leur cinquième participation.
Dans l’optique de livrer une bonne performance lors de cette compétition, l’équipe nationale, qui a atterri le 1er octobre à Goa dans l’ouest de l’Inde, a effectué plusieurs galops d’entraînement, ponctués par des matchs amicaux contre notamment le Portugal et le Chili, également qualifié pour cette Coupe du monde.
La qualification de la sélection nationale U17 à cette Coupe du Monde est le fruit de plusieurs années de travail, a-t-il ajouté, notant que la qualification à cette phase finale est déjà une grande victoire et un tournant majeur pour le développement du football féminin au Maroc.
Et de rappeler que la Fédération royale marocaine de football (FRMF) a mis tous les moyens nécessaires à la disposition de l’équipe et lui a permis de se préparer dans des conditions optimales.
Logé dans le groupe A, le Maroc affrontera également l’Inde, pays hôte contre qui la méfiance est de mise. Les Indiennes ne ressemblent en rien à des outsiders puisqu’elles disposent d’atouts considérables pouvant tout faire basculer.
Dans ce sens, l’ancien international indien, Inivalappil Vijayan, président du comité technique de la Fédération indienne de football, a considéré que la U17-Feminine est un «événement tellement important pour l’Inde et un grand privilège de jouer à un tel niveau».
A rappeler que l’Espagne, championne en titre, qui a battu le Mexique en finale de l’édition 2018, est logée dans le groupe C avec la Colombie, la Chine et le Mexique alors que le groupe D comprend le Japon, la Tanzanie, le Canada et la France. La poule B comprend l’Allemagne, le Nigeria, la Nouvelle-Zélande et le Chili.
Ayant remporté le trophée en 2008 et 2016, la Corée du Nord est l’équipe la plus titrée de l’histoire du tournoi, tandis que le Japon, l’Espagne, la Corée du Sud et la France ont chacun remporté le titre une fois.
LODJ avec MAP
Pour les protégées d’Anthony Rimasson ayant assuré leur qualification à cette 7ème édition à l’issue d’une remontada historique à Rabat aux dépens du Ghana, l’enjeu est de taille. Croiser le fer avec le Brésil et les Etats-Unis au premier tour semble une tâche des plus ardues, mais l’esprit de défiance et le travail de longue haleine seraient la recette gagnante du Onze national.
Si les Marocaines font leur première parution dans cette manifestation sportive, les Bersilliennes en sont à leur 6e participation alors que les Américaines, finalistes de l’édition inaugurale de 2008, font leur cinquième participation.
Dans l’optique de livrer une bonne performance lors de cette compétition, l’équipe nationale, qui a atterri le 1er octobre à Goa dans l’ouest de l’Inde, a effectué plusieurs galops d’entraînement, ponctués par des matchs amicaux contre notamment le Portugal et le Chili, également qualifié pour cette Coupe du monde.
«Arriver dix jours avant le coup d’envoi du Mondial nous permet de nous acclimater et de prendre nos marques. Une séance d’entraînement est programmée chaque jour», a indiqué à la MAP, l’entraineur de la sélection nationale, Anthony Rimasson.
«Nous sommes logés effectivement dans un groupe difficile, avec l’Inde, pays hôte, en sus du Brésil et des Etats-Unis, mais le Maroc a aussi son mot à dire dans cette édition», a-t-il affirmé.
La qualification de la sélection nationale U17 à cette Coupe du Monde est le fruit de plusieurs années de travail, a-t-il ajouté, notant que la qualification à cette phase finale est déjà une grande victoire et un tournant majeur pour le développement du football féminin au Maroc.
Et de rappeler que la Fédération royale marocaine de football (FRMF) a mis tous les moyens nécessaires à la disposition de l’équipe et lui a permis de se préparer dans des conditions optimales.
Logé dans le groupe A, le Maroc affrontera également l’Inde, pays hôte contre qui la méfiance est de mise. Les Indiennes ne ressemblent en rien à des outsiders puisqu’elles disposent d’atouts considérables pouvant tout faire basculer.
Dans ce sens, l’ancien international indien, Inivalappil Vijayan, président du comité technique de la Fédération indienne de football, a considéré que la U17-Feminine est un «événement tellement important pour l’Inde et un grand privilège de jouer à un tel niveau».
Pour les indiennes, a-t-il commenté dans une déclaration à la presse, «c’est le meilleur âge pour jouer contre certaines des meilleures équipes au monde et surtout il n’y a pour elles absolument aucune pression».
A rappeler que l’Espagne, championne en titre, qui a battu le Mexique en finale de l’édition 2018, est logée dans le groupe C avec la Colombie, la Chine et le Mexique alors que le groupe D comprend le Japon, la Tanzanie, le Canada et la France. La poule B comprend l’Allemagne, le Nigeria, la Nouvelle-Zélande et le Chili.
Ayant remporté le trophée en 2008 et 2016, la Corée du Nord est l’équipe la plus titrée de l’histoire du tournoi, tandis que le Japon, l’Espagne, la Corée du Sud et la France ont chacun remporté le titre une fois.
LODJ avec MAP