Le groupe basé à Singapour rejoint ainsi les partenaires historiques de l'instance mondiale, dont les américains Coca-Cola et Visa et l'allemand Adidas, sans que la durée et les termes du contrat n'aient été précisés.
Il s'agit, vante la Fifa, de lui offrir "une exposition importante, à l'intérieur et à l'extérieur des stades" de "l'évènement sportif le plus populaire au monde", organisé au Qatar du 21 novembre au 18 décembre prochain. Fondé en 2016, Crypto.com est déjà présent dans les sports mécaniques, le MMA, le football, le hockey sur glace et le basket, où l'enceinte mythique des Los Angeles Lakers a été rebaptisée à son nom fin 2021 contre un montant estimé à 700 millions de dollars.
Le partenariat signé avec la Fifa accentue un peu plus la présence des cryptomonnaies dans le football, avec des têtes d'affiche comme Lionel Messi, dont une partie de la rémunération au PSG est versée en jetons numériques.
A l'automne dernier, une étude du cabinet KPMG relevait une nette percée des monnaies virtuelles parmi la quarantaine de contrats de sponsoring maillot signés dans les cinq grands championnats européens depuis le début de la pandémie. Selon KPMG, l'Inter Milan a par exemple doublé le revenu lié à son principal sponsor maillot en délaissant le manufacturier Pirelli pour afficher Socios.com sur le torse de ses joueurs.
DigitalBits, autre acteur du secteur de la technologie "blockchain", a pris place sur le maillot de l'AS Rome depuis juillet 2021, après avoir signé un contrat de trois ans (12,4 millions d'euros) avec le club italien. Par ailleurs, le partenariat du PSG avec Socios.com a permis de payer une partie du premier salaire de Messi en "fan tokens", ces jetons que peuvent acheter les supporters depuis 2020 avec des chiliz, une cryptomonnaie moins connue que le bitcoin ou l'ethereum.
Grâce à ces jetons, les supporters peuvent participer à la vie du club sans se rendre au stade, en votant pour choisir le design du rideau entre le couloir des vestiaires et la pelouse, ou la phrase inscrite à l'intérieur du brassard du capitaine par exemple. Certains analystes s'inquiètent néanmoins de voir des parieurs curieux s'embarquer sur ce marché sans trop le comprendre, alors même que la valeur des cryptomonnaies est extrêmement volatile.
LODJ avec AFP
Il s'agit, vante la Fifa, de lui offrir "une exposition importante, à l'intérieur et à l'extérieur des stades" de "l'évènement sportif le plus populaire au monde", organisé au Qatar du 21 novembre au 18 décembre prochain. Fondé en 2016, Crypto.com est déjà présent dans les sports mécaniques, le MMA, le football, le hockey sur glace et le basket, où l'enceinte mythique des Los Angeles Lakers a été rebaptisée à son nom fin 2021 contre un montant estimé à 700 millions de dollars.
Le partenariat signé avec la Fifa accentue un peu plus la présence des cryptomonnaies dans le football, avec des têtes d'affiche comme Lionel Messi, dont une partie de la rémunération au PSG est versée en jetons numériques.
A l'automne dernier, une étude du cabinet KPMG relevait une nette percée des monnaies virtuelles parmi la quarantaine de contrats de sponsoring maillot signés dans les cinq grands championnats européens depuis le début de la pandémie. Selon KPMG, l'Inter Milan a par exemple doublé le revenu lié à son principal sponsor maillot en délaissant le manufacturier Pirelli pour afficher Socios.com sur le torse de ses joueurs.
DigitalBits, autre acteur du secteur de la technologie "blockchain", a pris place sur le maillot de l'AS Rome depuis juillet 2021, après avoir signé un contrat de trois ans (12,4 millions d'euros) avec le club italien. Par ailleurs, le partenariat du PSG avec Socios.com a permis de payer une partie du premier salaire de Messi en "fan tokens", ces jetons que peuvent acheter les supporters depuis 2020 avec des chiliz, une cryptomonnaie moins connue que le bitcoin ou l'ethereum.
Grâce à ces jetons, les supporters peuvent participer à la vie du club sans se rendre au stade, en votant pour choisir le design du rideau entre le couloir des vestiaires et la pelouse, ou la phrase inscrite à l'intérieur du brassard du capitaine par exemple. Certains analystes s'inquiètent néanmoins de voir des parieurs curieux s'embarquer sur ce marché sans trop le comprendre, alors même que la valeur des cryptomonnaies est extrêmement volatile.
LODJ avec AFP