Dimanche dernier, Messi s'est dégourdi les jambes, sans plus, avec le Paris SG face à Auxerre. Le N.30 parisien et les siens se sont imposés sans aucune difficulté (5-0) en Championnat, mais ça n'est pas vraiment ce qui préoccupait l'Argentine. Car l'essentiel, vu de Buenos Aires, est que le génie se porte bien.
"Il a joué son dernier match sans se blesser !", a ainsi affiché sur un large bandeau façon "Breaking News" la chaîne de télévision locale TN.
De la même façon, la légère "inflammation au tendon d'Achille" qui avait poussé Messi à prudemment sécher les matches contre la Juventus et Lorient la semaine précédente n'avait pas inquiété grand-monde à Paris, mais avait été accueillie avec une certaine tension dans son pays.
Car avec ce Messi là, qui a évolué à très haut niveau avec le PSG depuis le début de la saison et a parfois semblé redevenu celui de ses meilleures années barcelonaises ou presque, l'Argentine se prend à rêver.
Et après la Copa America conquise l'an dernier au Brésil, un trophée que le pays attendait depuis 1993, les Argentins veulent maintenant une troisième Coupe du Monde après celles de 1978 et 1986, qui mettrait Messi à hauteur de Diego Maradona au sein du panthéon du football.
"Nous allons nous battre pour l'obtenir, mais nous ne sommes pas assurés d'emblée d'être champions, comme le pensent les Argentins", a tout de même prévenu le capitaine de la sélection lors d'une interview accordée la semaine dernière à Olé, le grand quotidien sportif de son pays.
- Les Emirats en amical -
Avant de se frotter à l'Arabie Saoudite le 22 novembre pour son entrée dans le Mondial, puis au Mexique et à la Pologne, l'Argentine va déjà se jauger lors d'un match amical mercredi contre les modestes Emirats Arabes Unis, 70e au classement Fifa.
La partie se tiendra à 300 kilomètres du Qatar, à Abou Dhabi, où Messi, t-shirt et baskets aux couleurs de son pays, est arrivé lundi matin entouré de quelques-uns de ses équipiers, notamment les anciens Parisiens Angel Di Maria et Leandro Paredes, aujourd'hui joueurs de la Juventus.
Contre les Emirats, l'Argentine aura un premier objectif, symbolique, celui de conserver son invincibilité, qui dure depuis juillet 2019 et s'étire en une série de 35 matches, à deux longueurs seulement du record détenu par l'Italie de Roberto Mancini.
Mais elle doit surtout permettre à Lionel Scaloni d'étalonner son groupe, dont certains éléments importants ont été blessés. Le sélectionneur argentin, qui a perdu un pion important avec le forfait du milieu de terrain Giovanni Lo Celso, a ainsi pu constater dimanche que Paulo Dybala (AS Rome) avait pu reprendre la compétition, comme Paredes et Di Maria il y a peu.
Ce sont des signes encourageants pour lui et l'Argentine. Mais ça n'est rien à côté de la forme de Messi.
LODJ avec AFP
"Il a joué son dernier match sans se blesser !", a ainsi affiché sur un large bandeau façon "Breaking News" la chaîne de télévision locale TN.
De la même façon, la légère "inflammation au tendon d'Achille" qui avait poussé Messi à prudemment sécher les matches contre la Juventus et Lorient la semaine précédente n'avait pas inquiété grand-monde à Paris, mais avait été accueillie avec une certaine tension dans son pays.
Car avec ce Messi là, qui a évolué à très haut niveau avec le PSG depuis le début de la saison et a parfois semblé redevenu celui de ses meilleures années barcelonaises ou presque, l'Argentine se prend à rêver.
Et après la Copa America conquise l'an dernier au Brésil, un trophée que le pays attendait depuis 1993, les Argentins veulent maintenant une troisième Coupe du Monde après celles de 1978 et 1986, qui mettrait Messi à hauteur de Diego Maradona au sein du panthéon du football.
"Nous allons nous battre pour l'obtenir, mais nous ne sommes pas assurés d'emblée d'être champions, comme le pensent les Argentins", a tout de même prévenu le capitaine de la sélection lors d'une interview accordée la semaine dernière à Olé, le grand quotidien sportif de son pays.
- Les Emirats en amical -
"Nous aussi, nous avons un grand espoir et nous sommes conscients que nous traversons une bonne période. Mais nous devons aussi savoir que c'est une Coupe du Monde et que c'est très difficile", a-t-il ajouté.
"C'est déjà une erreur de penser aux huitièmes de finale, il faut penser au premier match. Il est essentiel de partir du bon pied et de remporter les trois matches" de poules, a conclu le septuple Ballon d'Or.
Avant de se frotter à l'Arabie Saoudite le 22 novembre pour son entrée dans le Mondial, puis au Mexique et à la Pologne, l'Argentine va déjà se jauger lors d'un match amical mercredi contre les modestes Emirats Arabes Unis, 70e au classement Fifa.
La partie se tiendra à 300 kilomètres du Qatar, à Abou Dhabi, où Messi, t-shirt et baskets aux couleurs de son pays, est arrivé lundi matin entouré de quelques-uns de ses équipiers, notamment les anciens Parisiens Angel Di Maria et Leandro Paredes, aujourd'hui joueurs de la Juventus.
Contre les Emirats, l'Argentine aura un premier objectif, symbolique, celui de conserver son invincibilité, qui dure depuis juillet 2019 et s'étire en une série de 35 matches, à deux longueurs seulement du record détenu par l'Italie de Roberto Mancini.
Mais elle doit surtout permettre à Lionel Scaloni d'étalonner son groupe, dont certains éléments importants ont été blessés. Le sélectionneur argentin, qui a perdu un pion important avec le forfait du milieu de terrain Giovanni Lo Celso, a ainsi pu constater dimanche que Paulo Dybala (AS Rome) avait pu reprendre la compétition, comme Paredes et Di Maria il y a peu.
Ce sont des signes encourageants pour lui et l'Argentine. Mais ça n'est rien à côté de la forme de Messi.
LODJ avec AFP