Dans le sillage des Bleus champions du monde en titre et de l'Albiceleste de Lionel Messi, arrivés mercredi, le plateau de la Coupe du monde se remplit peu à peu au fil des atterrissages à l'aéroport international Hamad et des installations dans les camps de base.
Manquent encore la Belgique d'Eden Hazard et la Croatie de Luka Modric, attendues vendredi, tout comme le Portugal de Cristiano Ronaldo, retenu à Lisbonne pour un ultime match amical contre le Nigeria jeudi (19h45 heure de Paris), alors que le Brésil de Neymar, en stage de préparation à Turin (Italie), devrait clore le bal samedi.
L'Allemagne, difficile vainqueur d'Oman (1-0) mercredi lors de son ultime galop d'essai, est pour sa part arrivée jeudi à la mi-journée pour prendre ses quartiers à Al-Ruwais, au Zulal Wellness Resort, à la pointe nord de la péninsule. Quant à l'Espagne, qui se jauge contre la Jordanie à Amman jeudi soir (19h00) avant de mettre le cap sur le Qatar dans la nuit de jeudi à vendredi, elle se prépare à un groupe E très relevé avec l'affiche face aux Allemands le 27 novembre.
En attendant, à l'ombre des gratte-ciel de Doha, où s'affichent les visages des principales vedettes du tournoi, des supporters du monde entier affluent pour le grand rendez-vous planétaire, le premier dans le monde arabe.
Doutes sur les Bleus
Plusieurs dizaines de fans, la plupart des habitants de Doha venus du Liban, de France ou encore d'Inde, équipés de drapeaux, maillots, trompettes et tambours, ont accompagné mercredi en fin de journée l'installation des Bleus dans leur camp de base, à six jours de leur entrée en lice contre l'Australie.
Les Français abordent le tournoi nimbés de doutes après une hécatombe de blessés, le dernier en date étant Christopher Nkunku (genou), remplacé au pied levé par Randal Kolo Muani, qui a rejoint l'effectif jeudi matin. Un nouveau contretemps pour les tenants du titre, menacés par une rude concurrence.
Il y a bien sûr le Brésil, N.1 mondial au classement Fifa, et l'Argentine, qui a enchaîné mercredi en amical contre les Emirats arabes unis un 36e match sans défaite, à une longueur du record d'invincibilité établi par l'Italie en 2021, avec un festival offensif (5-0) dont un but de Lionel Messi et un doublé d'Angel Di Maria. Et derrière ces cadors, aucun complexe pour une brochette d'outsiders dont les Pays-Bas, triples finalistes malheureux (1974, 1978, 2010) et éternels candidats au titre mondial.
L'effervescence a commencé à poindre autour de la principale fan zone du Mondial, située dans le parc Al Bidda, au centre de Doha, qui doit ouvrir officiellement samedi, à la veille du match d'ouverture. Mercredi, lors d'un événement test en soirée, des volontaires postés à une de ses entrées assuraient qu'"elle était comble".
Dans une vidéo de l'agence de presse qatarie QNA, le PDG du Mondial Nasser Al Khater a affirmé que "3,1 millions de billets ont été vendus", soit l'ensemble des billets disponibles, et a promis un "tournoi exceptionnel".
LODJ avec AFP
Manquent encore la Belgique d'Eden Hazard et la Croatie de Luka Modric, attendues vendredi, tout comme le Portugal de Cristiano Ronaldo, retenu à Lisbonne pour un ultime match amical contre le Nigeria jeudi (19h45 heure de Paris), alors que le Brésil de Neymar, en stage de préparation à Turin (Italie), devrait clore le bal samedi.
L'Allemagne, difficile vainqueur d'Oman (1-0) mercredi lors de son ultime galop d'essai, est pour sa part arrivée jeudi à la mi-journée pour prendre ses quartiers à Al-Ruwais, au Zulal Wellness Resort, à la pointe nord de la péninsule. Quant à l'Espagne, qui se jauge contre la Jordanie à Amman jeudi soir (19h00) avant de mettre le cap sur le Qatar dans la nuit de jeudi à vendredi, elle se prépare à un groupe E très relevé avec l'affiche face aux Allemands le 27 novembre.
En attendant, à l'ombre des gratte-ciel de Doha, où s'affichent les visages des principales vedettes du tournoi, des supporters du monde entier affluent pour le grand rendez-vous planétaire, le premier dans le monde arabe.
Doutes sur les Bleus
Plusieurs dizaines de fans, la plupart des habitants de Doha venus du Liban, de France ou encore d'Inde, équipés de drapeaux, maillots, trompettes et tambours, ont accompagné mercredi en fin de journée l'installation des Bleus dans leur camp de base, à six jours de leur entrée en lice contre l'Australie.
Les Français abordent le tournoi nimbés de doutes après une hécatombe de blessés, le dernier en date étant Christopher Nkunku (genou), remplacé au pied levé par Randal Kolo Muani, qui a rejoint l'effectif jeudi matin. Un nouveau contretemps pour les tenants du titre, menacés par une rude concurrence.
Il y a bien sûr le Brésil, N.1 mondial au classement Fifa, et l'Argentine, qui a enchaîné mercredi en amical contre les Emirats arabes unis un 36e match sans défaite, à une longueur du record d'invincibilité établi par l'Italie en 2021, avec un festival offensif (5-0) dont un but de Lionel Messi et un doublé d'Angel Di Maria. Et derrière ces cadors, aucun complexe pour une brochette d'outsiders dont les Pays-Bas, triples finalistes malheureux (1974, 1978, 2010) et éternels candidats au titre mondial.
L'effervescence a commencé à poindre autour de la principale fan zone du Mondial, située dans le parc Al Bidda, au centre de Doha, qui doit ouvrir officiellement samedi, à la veille du match d'ouverture. Mercredi, lors d'un événement test en soirée, des volontaires postés à une de ses entrées assuraient qu'"elle était comble".
Dans une vidéo de l'agence de presse qatarie QNA, le PDG du Mondial Nasser Al Khater a affirmé que "3,1 millions de billets ont été vendus", soit l'ensemble des billets disponibles, et a promis un "tournoi exceptionnel".
LODJ avec AFP