"Il faut s'accrocher à notre passé pour se convaincre" qu'on peut se qualifier en Algérie, explique à l'AFP l'ancien gardien des Lions Indomptables Joseph-Antoine Bell.
L'ancien goal de Marseille et Bordeaux préfère "se concentrer sur les raisons d'espérer" que sur le plan de jeu de Rigobert Song, le nouveau sélectionneur, qui ne l'a pas emballé.
"Pas partir à l'abordage"
A l'aller à Douala, "on voyait bien que les Algériens avaient une idée de jeu plus claire, ni meilleure ni pire, mais une idée de jeu", poursuit-il.
Pour son premier match de sélectionneur, l'ancien capitaine aux 137 sélections avait critiqué l'Algérie, "pas venue pour jouer": "Le football, si vous mettez sept joueurs derrière, c'est compliqué". Un léger aveu de faiblesse.
Mais "rien n'empêche que ce soit le Cameroun qui ait le meilleur plan de jeu au retour", souligne Bell.
Le sélectionneur algérien, Djamel Belmadi, était satisfait de son coup, avec son nouveau système à trois défenseurs. "Nous avons trouvé des solutions pour ce premier match, dit-il, mais il en reste un deuxième. Nous n'avons pas encore la qualification".
LODJ avec AFP
"La raison principale ?" sourit l'ex-attaquant des Lions indomptables Benjamin Moukandjo. "C'est simple: comment ne pas y croire quand on a la chance de jouer un match qui peut vous emmener à la Coupe du monde. On a encore notre destin en mains."
"N'évoquons pas les chiffres, qui risquent de décourager, reprend Bell, une équipe qui a gagné l'aller à l'extérieur est passée 80 fois sur 100, poursuit +Jo+, en revanche on peut regarder l'histoire du Cameroun en se disant qu'il a souvent gagné à l'extérieur, souvent réalisé des exploits".
L'ancien goal de Marseille et Bordeaux préfère "se concentrer sur les raisons d'espérer" que sur le plan de jeu de Rigobert Song, le nouveau sélectionneur, qui ne l'a pas emballé.
"Pour réussir, il faut commencer par se convaincre soi-même qu'on en est capable, et la conviction vient de la connaissance", explique Bell.
"Il faut avoir un plan de jeu clair, c'est ce qui emporte la conviction des joueurs, pas le slogan ni les incantations."
"Pas partir à l'abordage"
A l'aller à Douala, "on voyait bien que les Algériens avaient une idée de jeu plus claire, ni meilleure ni pire, mais une idée de jeu", poursuit-il.
Pour son premier match de sélectionneur, l'ancien capitaine aux 137 sélections avait critiqué l'Algérie, "pas venue pour jouer": "Le football, si vous mettez sept joueurs derrière, c'est compliqué". Un léger aveu de faiblesse.
Mais "rien n'empêche que ce soit le Cameroun qui ait le meilleur plan de jeu au retour", souligne Bell.
Le sélectionneur algérien, Djamel Belmadi, était satisfait de son coup, avec son nouveau système à trois défenseurs. "Nous avons trouvé des solutions pour ce premier match, dit-il, mais il en reste un deuxième. Nous n'avons pas encore la qualification".
"Pour faire déjouer le Cameroun, il fallait bloquer les côtés, les latéraux très offensifs Fai Collins et Nouhou Tolo", note Moukandjo. "L'Algérie a amené le Cameroun a dénaturer son football, à jouer dans l'axe".
"L'Algérie avait son plan, simple et clair", résume l'ancien Lorientais. "A nous de faire pareil au retour. Mais on ne va pas partir à l'abordage non plus, on ne perd que 1-0".Moukandjo compte sur le duo d'attaque "Vincent Aboubakar et Karl Toko-Ekambi qui a montré sa valeur et son expérience pendant la CAN" avec 13 buts à eux deux, dont 8 pour Aboubakar, qui souffre un peu du talon mais devrait être aligné à Blida, où la file a commencé dès dimanche soir pour avoir des billets pour ce choc.
LODJ avec AFP