Personne ne doute de la motivation décuplée de "CR7", privé cette saison des projecteurs de la Ligue des champions et abonné au banc des remplaçants à Manchester United. Mais le quintuple Ballon d'or a-t-il encore les moyens, à 37 ans, de faire basculer les grands matches comme il le fait avec une impressionnante régularité depuis bientôt vingt ans?
S'il marque au Qatar, il deviendra le premier à faire trembler les filets lors de cinq Coupes du monde différentes (de 2006 à 2022), faisant mieux que Pelé, Miroslav Klose et Uwe Seeler.
Mais à l'image de sa superstar, le Portugal (9e mondial) apparaît en déclin depuis son sacre à l'Euro-2016. Le sélectionneur Fernando Santos, 68 ans, ne manque certes pas de talents (Joao Felix, Rafael Leao, Bruno Fernandes, Nuno Mendes, Renato Sanches) mais peine à renouveler le jeu d'une équipe totalement construite autour de Ronaldo.
Pour se qualifier, le Portugal a dû cravacher, passant par les barrages après avoir été devancé par la Serbie dans son groupe.
Son principal rival paraît être l'Uruguay (14e mondial), son tombeur lors du Mondial-2018 en huitièmes (2-1)... Même si la Celeste n'est elle-même plus aussi étincelante, rattrapée par l'âge (35 ans) de ses étoiles Luis Suarez et Edinson Cavani.
En qualifications, l'Uruguay, seul ex-vainqueur du Mondial de cette poule (1930, 1950), a également souffert. Le Ghana et la Corée du Sud tenteront eux de bousculer la hiérarchie.
Tombeur en barrage du Nigeria, le Ghana (61e mondial) est aimanté par les retrouvailles avec l'Uruguay, qui avait écarté les "Black Stars" lors d'un quart de finale électrique en 2010 en Afrique du Sud. Avant d'être écartés aux tirs au but (1-1 a.p., 4-2 aux t.a.b.), les Ghanéens avaient raté un penalty en toute fin de prolongation, après une main sur sa ligne du roublard Suarez.
La Corée du Sud (28e mondiale) espère elle pouvoir compter sur l'attaquant de Tottenham Son, victime la semaine dernière d'une fracture au visage. Il est considéré comme le "talisman" d'une équipe qui peut aussi s'appuyer sur un solide défenseur, en la personne de Kim Min-jae, qui brille cette saison à Naples.
LODJ avec AFP
S'il marque au Qatar, il deviendra le premier à faire trembler les filets lors de cinq Coupes du monde différentes (de 2006 à 2022), faisant mieux que Pelé, Miroslav Klose et Uwe Seeler.
Mais à l'image de sa superstar, le Portugal (9e mondial) apparaît en déclin depuis son sacre à l'Euro-2016. Le sélectionneur Fernando Santos, 68 ans, ne manque certes pas de talents (Joao Felix, Rafael Leao, Bruno Fernandes, Nuno Mendes, Renato Sanches) mais peine à renouveler le jeu d'une équipe totalement construite autour de Ronaldo.
Pour se qualifier, le Portugal a dû cravacher, passant par les barrages après avoir été devancé par la Serbie dans son groupe.
Son principal rival paraît être l'Uruguay (14e mondial), son tombeur lors du Mondial-2018 en huitièmes (2-1)... Même si la Celeste n'est elle-même plus aussi étincelante, rattrapée par l'âge (35 ans) de ses étoiles Luis Suarez et Edinson Cavani.
En qualifications, l'Uruguay, seul ex-vainqueur du Mondial de cette poule (1930, 1950), a également souffert. Le Ghana et la Corée du Sud tenteront eux de bousculer la hiérarchie.
Tombeur en barrage du Nigeria, le Ghana (61e mondial) est aimanté par les retrouvailles avec l'Uruguay, qui avait écarté les "Black Stars" lors d'un quart de finale électrique en 2010 en Afrique du Sud. Avant d'être écartés aux tirs au but (1-1 a.p., 4-2 aux t.a.b.), les Ghanéens avaient raté un penalty en toute fin de prolongation, après une main sur sa ligne du roublard Suarez.
La Corée du Sud (28e mondiale) espère elle pouvoir compter sur l'attaquant de Tottenham Son, victime la semaine dernière d'une fracture au visage. Il est considéré comme le "talisman" d'une équipe qui peut aussi s'appuyer sur un solide défenseur, en la personne de Kim Min-jae, qui brille cette saison à Naples.
LODJ avec AFP