Une mi-temps chacun: autant "Team USA" a mérité de mener 1-0 à la pause, grâce à Timothy Weah (36e), après avoir étouffé les Gallois pendant 45 minutes, autant les "Dragons" n'ont pas volé leur égalisation par Gareth Bale (82e sur pénalty), après une seconde période pleine d'énergie et de volonté.
Pour leur retour en Coupe du monde après 64 ans d'absence, les Gallois avaient l'appui d'une colonie bruyante et enthousiaste de fans tout de rouge vêtus.
Mais d'entrée de jeu, les Américains, arrivés au Qatar avec la deuxième sélection la plus jeune du tournoi (après le Ghana), ont privé les Britanniques du ballon, et pris le contrôle quasi total du milieu de terrain.
La première occasion franche est arrivée après 10 minutes de jeu seulement, lorsque Josh Sargent a placé une tête puissante sur le poteau.
On pensait alors que les Dragons allaient craquer rapidement. Mais les joueurs de Rob Page, à défaut de pouvoir développer leur football, étaient bien en place défensivement. Et c'est finalement sur sa deuxième occasion seulement que la "Team USA" a ouvert le score.
Point de l'espoir
Dans la famille Weah, le fils... George, le père, avait brillé avec Paris ou l'AC Milan avant de devenir président de son pays, le Liberia. Mais c'est Timothy, le fils, qui a inscrit le nom de la famille dans le livre d'Or de la Coupe du monde, en ouvrant le score pour les Etats-Unis.
Superbement lancé dans la profondeur par Christian Pulisic, le jeune attaquant lillois de 22 ans a devancé le gardien gallois Wayne Hennessey (1-0, 36e).
Tous ces jeunes Américains engrangent au Qatar une expérience qui, espèrent-ils, leur sera précieuse dans quatre ans, pour leur Mondial à domicile en 2026 (les Etats-Unis le co-organiseront avec le Canada et le Mexique).
Mais le coach gallois Rob Page, à la pause, a dû remettre quelques pendules à l'heure. Car les rouges sont revenus sur la pelouse avec beaucoup plus d'idées, d'agressivité et d'enthousiasme.
La deuxième période a été par moment débridée, les deux équipes cherchant tour à tour le KO. Les Gallois ont été tout près d'égaliser à la 64e minute, lorsque Ben Davies a vu sa tête puissante claquée au dessus de la barre par le gardien américain Matt Turner.
Et c'est finalement Gareth Bale, transparent pendant les 45 première minutes, qui a arraché l'égalisation. Bousculé dans la surface, l'ancien attaquant du Real Madrid n'a laissé à personne le soin de transformer le pénalty logiquement sifflé par l'arbitre qatari du match, M. Al Jassim (1-1, 82e).
Malgré une fin de match en "hourra football", aucune équipe n'a réussi à arracher la victoire. Ce point du nul est aussi pour les deux formations un point de l'espoir, dans un groupe ou l'Iran apparaît en-dessous du lot et l'Angleterre probablement au -dessus.
LODJ avec AFP
Pour leur retour en Coupe du monde après 64 ans d'absence, les Gallois avaient l'appui d'une colonie bruyante et enthousiaste de fans tout de rouge vêtus.
Mais d'entrée de jeu, les Américains, arrivés au Qatar avec la deuxième sélection la plus jeune du tournoi (après le Ghana), ont privé les Britanniques du ballon, et pris le contrôle quasi total du milieu de terrain.
La première occasion franche est arrivée après 10 minutes de jeu seulement, lorsque Josh Sargent a placé une tête puissante sur le poteau.
On pensait alors que les Dragons allaient craquer rapidement. Mais les joueurs de Rob Page, à défaut de pouvoir développer leur football, étaient bien en place défensivement. Et c'est finalement sur sa deuxième occasion seulement que la "Team USA" a ouvert le score.
Point de l'espoir
Dans la famille Weah, le fils... George, le père, avait brillé avec Paris ou l'AC Milan avant de devenir président de son pays, le Liberia. Mais c'est Timothy, le fils, qui a inscrit le nom de la famille dans le livre d'Or de la Coupe du monde, en ouvrant le score pour les Etats-Unis.
Superbement lancé dans la profondeur par Christian Pulisic, le jeune attaquant lillois de 22 ans a devancé le gardien gallois Wayne Hennessey (1-0, 36e).
Tous ces jeunes Américains engrangent au Qatar une expérience qui, espèrent-ils, leur sera précieuse dans quatre ans, pour leur Mondial à domicile en 2026 (les Etats-Unis le co-organiseront avec le Canada et le Mexique).
Mais le coach gallois Rob Page, à la pause, a dû remettre quelques pendules à l'heure. Car les rouges sont revenus sur la pelouse avec beaucoup plus d'idées, d'agressivité et d'enthousiasme.
La deuxième période a été par moment débridée, les deux équipes cherchant tour à tour le KO. Les Gallois ont été tout près d'égaliser à la 64e minute, lorsque Ben Davies a vu sa tête puissante claquée au dessus de la barre par le gardien américain Matt Turner.
Et c'est finalement Gareth Bale, transparent pendant les 45 première minutes, qui a arraché l'égalisation. Bousculé dans la surface, l'ancien attaquant du Real Madrid n'a laissé à personne le soin de transformer le pénalty logiquement sifflé par l'arbitre qatari du match, M. Al Jassim (1-1, 82e).
Malgré une fin de match en "hourra football", aucune équipe n'a réussi à arracher la victoire. Ce point du nul est aussi pour les deux formations un point de l'espoir, dans un groupe ou l'Iran apparaît en-dessous du lot et l'Angleterre probablement au -dessus.
LODJ avec AFP