Cantal Bakker a découvert Marrakech au cours de vacances, à vélo. Durant son voyage, elle a établi un double constat, le fort taux de chômage et la pollution de l’air. Elle a voulu créer un lien entre ces deux maux et apporter un plus à la société marocaine. La jeune femme a alors eu une idée: fonder un projet social inclusif et écolo.
La jeune a quitté les Pays-Bas pour s’installer à Marrakech, pour concrétiser son idée. Cinq ans plus tard, Cantal Bakker a monté sa société, Pikala, dans la ville ocre, et s’est implantée dans trois villes marocaines. Sa mission est de créer des opportunités d’éducation et d’emploi pour les jeunes, d’améliorer la mobilité durable, de protéger le centre-ville du trafic motorisé et de renforcer la sensibilisation autour de l’environnement.
Pikala intervient à trois niveaux. Au niveau de la société civile, en intégrant des enfants, des jeunes et des habitants de la ville de Marrakech pour faciliter l’accès à l’éducation et créer un impact positif et constructif au quotidien. Au niveau gouvernemental, en créant un impact à long terme au niveau notamment de la sécurité routière, de la mobilité urbaine et de l’expertise en matière d’infrastructures. Enfin, au niveau de l’économie commerciale, en proposant des emplois pour les jeunes.
Organisation à but non lucratif en faveur du développement du vélo pour stimuler un développement sain et inclusif dans les villes, Pikala offre un service de découverte touristique de la ville à vélo, avec pour guide de jeunes Marocains.
La jeune a quitté les Pays-Bas pour s’installer à Marrakech, pour concrétiser son idée. Cinq ans plus tard, Cantal Bakker a monté sa société, Pikala, dans la ville ocre, et s’est implantée dans trois villes marocaines. Sa mission est de créer des opportunités d’éducation et d’emploi pour les jeunes, d’améliorer la mobilité durable, de protéger le centre-ville du trafic motorisé et de renforcer la sensibilisation autour de l’environnement.
Pikala intervient à trois niveaux. Au niveau de la société civile, en intégrant des enfants, des jeunes et des habitants de la ville de Marrakech pour faciliter l’accès à l’éducation et créer un impact positif et constructif au quotidien. Au niveau gouvernemental, en créant un impact à long terme au niveau notamment de la sécurité routière, de la mobilité urbaine et de l’expertise en matière d’infrastructures. Enfin, au niveau de l’économie commerciale, en proposant des emplois pour les jeunes.
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Aujourd’hui, Pikala Bikes emploie 30 jeunes en tant que guides en vélo, livreurs, mécaniciens et managers. De plus, 500 vélos sont offerts par l’ONG aux écoles pour faciliter le déplacement des élèves et pas moins de 250 filles ont appris à utiliser un vélo au quotidien. Selon Cantal Bakker, des milliers d’enfants ont également participé à des ateliers de sensibilisation à l’environnement et à la sécurité routière. Cinq ans après avoir lancé le projetPikala Bikes à Marrakech, Cantal Bakker compte étendre cette initiative à d’autres villes telles que Rabat, Agadir et Essaouira.
Un projet unique qui mérite plus de reconnaissance et soutien !
Lesitinfo
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