Pour sa 18ᵉ édition, qui se tiendra à Marrakech du 4 au 12 avril 2025, le festival poursuit son engagement en faveur de la transmission, de la jeunesse et du dialogue interculturel. Avec une programmation ambitieuse, où la danse devient à la fois un espace de réflexion et un souffle d’espoir, « On Marche » promet de marquer les esprits.
Une édition sous le signe de l’ouverture et de l’accessibilité
Cette année, le festival mettra en lumière quatre valeurs essentielles : espoir, jeunesse, public et Afrique. Fidèle à sa vocation d’ouvrir la danse contemporaine à tous, « On Marche » investira les lieux emblématiques de Marrakech avec une série de spectacles, débats, projections, master classes et performances. La programmation, riche et diversifiée, inclut des créations venues du Maroc, mais aussi de nombreux pays tels que la Belgique, la France, la Tunisie, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, l’Espagne et le Liban. Une ouverture sur le monde qui s’accompagne d’un engagement fort pour rendre la danse accessible : plusieurs spectacles seront gratuits et ouverts au grand public.
L’un des temps forts de cette édition sera le spectacle participatif « Parade », dirigé par le chorégraphe français Olivier Dubois. Le 12 avril, 70 danseurs professionnels et amateurs envahiront la place Jemaâ El Fna pour une performance collective, symbolisant l’union entre artistes et citoyens.
Des partenariats majeurs pour soutenir la création chorégraphique
En 2025, « On Marche » franchit un cap important avec la signature d’une convention de trois ans avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication. Ce partenariat marque une reconnaissance institutionnelle forte et ouvre de nouvelles perspectives pour la scène chorégraphique marocaine. Parallèlement, un partenariat avec la Fédération Wallonie-Bruxelles permettra à trois artistes belges de présenter leurs œuvres pour la première fois au Maroc, renforçant ainsi les échanges culturels entre les deux régions.
L’engagement du festival envers les jeunes chorégraphes se concrétise également à travers le programme « Taklif », qui accompagne de jeunes talents dans leurs premières créations. Les lauréats des éditions précédentes auront l’occasion de présenter leurs spectacles cette année, témoignant de l’impact de cette initiative sur l’émergence d’une nouvelle génération d’artistes.
L’Afrique au cœur de la programmation
Le festival, profondément ancré à Marrakech, n’a jamais cessé de regarder vers l’Afrique. Cette année, l’Afrique occupe une place centrale dans la programmation, avec des créations portées par des chorégraphes africains tels qu’Oulouy (« Black », Espagne/Côte d’Ivoire) et Salia Sanou (« Trois fois seul », Burkina Faso). Ces œuvres, présentées respectivement les 7 et 8 avril, explorent des thématiques universelles tout en mettant en lumière les réalités africaines contemporaines.
Autre moment fort : la présentation de « Danser la Boza », un projet mêlant chorégraphie et documentaire, porté par Taoufiq Izeddiou et Khalid Mouna. Ce spectacle, qui sera présenté le 10 avril à l’Institut français de Marrakech, aborde les questions de migration et de résilience à travers le prisme de la danse.
Un souffle d’espoir et de transformation
Pour Taoufiq Izeddiou, fondateur et directeur artistique du festival, l’espoir reste le moteur de cette 18ᵉ édition. « La danse est une force de transformation, un lieu de liberté, un souffle vital », affirme-t-il. Dans un monde en perpétuel mouvement, « On Marche » rappelle que la danse peut être un vecteur de changement, un espace de dialogue et une source d’inspiration. Cette vision, portée par des artistes venus du monde entier, fait de « On Marche » bien plus qu’un festival : un véritable mouvement en faveur de la créativité et de l’humanité.
Une édition sous le signe de l’ouverture et de l’accessibilité
Cette année, le festival mettra en lumière quatre valeurs essentielles : espoir, jeunesse, public et Afrique. Fidèle à sa vocation d’ouvrir la danse contemporaine à tous, « On Marche » investira les lieux emblématiques de Marrakech avec une série de spectacles, débats, projections, master classes et performances. La programmation, riche et diversifiée, inclut des créations venues du Maroc, mais aussi de nombreux pays tels que la Belgique, la France, la Tunisie, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, l’Espagne et le Liban. Une ouverture sur le monde qui s’accompagne d’un engagement fort pour rendre la danse accessible : plusieurs spectacles seront gratuits et ouverts au grand public.
L’un des temps forts de cette édition sera le spectacle participatif « Parade », dirigé par le chorégraphe français Olivier Dubois. Le 12 avril, 70 danseurs professionnels et amateurs envahiront la place Jemaâ El Fna pour une performance collective, symbolisant l’union entre artistes et citoyens.
Des partenariats majeurs pour soutenir la création chorégraphique
En 2025, « On Marche » franchit un cap important avec la signature d’une convention de trois ans avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication. Ce partenariat marque une reconnaissance institutionnelle forte et ouvre de nouvelles perspectives pour la scène chorégraphique marocaine. Parallèlement, un partenariat avec la Fédération Wallonie-Bruxelles permettra à trois artistes belges de présenter leurs œuvres pour la première fois au Maroc, renforçant ainsi les échanges culturels entre les deux régions.
L’engagement du festival envers les jeunes chorégraphes se concrétise également à travers le programme « Taklif », qui accompagne de jeunes talents dans leurs premières créations. Les lauréats des éditions précédentes auront l’occasion de présenter leurs spectacles cette année, témoignant de l’impact de cette initiative sur l’émergence d’une nouvelle génération d’artistes.
L’Afrique au cœur de la programmation
Le festival, profondément ancré à Marrakech, n’a jamais cessé de regarder vers l’Afrique. Cette année, l’Afrique occupe une place centrale dans la programmation, avec des créations portées par des chorégraphes africains tels qu’Oulouy (« Black », Espagne/Côte d’Ivoire) et Salia Sanou (« Trois fois seul », Burkina Faso). Ces œuvres, présentées respectivement les 7 et 8 avril, explorent des thématiques universelles tout en mettant en lumière les réalités africaines contemporaines.
Autre moment fort : la présentation de « Danser la Boza », un projet mêlant chorégraphie et documentaire, porté par Taoufiq Izeddiou et Khalid Mouna. Ce spectacle, qui sera présenté le 10 avril à l’Institut français de Marrakech, aborde les questions de migration et de résilience à travers le prisme de la danse.
Un souffle d’espoir et de transformation
Pour Taoufiq Izeddiou, fondateur et directeur artistique du festival, l’espoir reste le moteur de cette 18ᵉ édition. « La danse est une force de transformation, un lieu de liberté, un souffle vital », affirme-t-il. Dans un monde en perpétuel mouvement, « On Marche » rappelle que la danse peut être un vecteur de changement, un espace de dialogue et une source d’inspiration. Cette vision, portée par des artistes venus du monde entier, fait de « On Marche » bien plus qu’un festival : un véritable mouvement en faveur de la créativité et de l’humanité.