un partenariat qui pourrait redessiner le futur industriel de l’Afrique
Ce mercredi, à Abeokuta, capitale de l’État d’Ogun située à une centaine de kilomètres de Lagos, un mémorandum d’entente a été signé entre Ali Zerouali, vice-président de la commission Afrique de la CGEM, et Dapo Abiodun, gouverneur de cet État nigérian stratégique. Cet accord ambitieux vise à renforcer les liens économiques, commerciaux et culturels entre les deux parties, tout en explorant de nouvelles opportunités d’investissement.
L’agriculture et l’agro-industrie figurent parmi les secteurs prioritaires de ce partenariat. Les deux parties souhaitent développer des solutions technologiques adaptées pour améliorer la productivité agricole et assurer une meilleure sécurité alimentaire. Mais ce n’est pas tout : le secteur industriel est également au cœur de cet accord, avec notamment la création de zones dédiées à l’automobile, un domaine où le Maroc excelle déjà grâce à ses plateformes industrielles comme celles de Tanger et Kénitra. Le gouverneur Dapo Abiodun a d’ailleurs salué le succès du modèle marocain dans l’automobile et l’aéronautique, exprimant son ambition de s’en inspirer pour propulser l’économie de son État.
Dans le domaine énergétique, l’accent sera mis sur les énergies renouvelables, notamment le solaire, l’éolien et l’hydroélectricité. Ce volet s’inscrit dans une vision africaine commune de transition énergétique. Par ailleurs, les infrastructures, qu’il s’agisse de routes, de chemins de fer, de ports ou de logements, occuperont une place centrale dans cette coopération. Ces projets devraient non seulement dynamiser l’économie locale, mais aussi renforcer les échanges régionaux.
Un autre point clé de cet accord concerne la formation et le renforcement des compétences locales. Des programmes éducatifs et des échanges d’expertise seront mis en place pour préparer les jeunes générations à relever les défis économiques et technologiques de demain. Ali Zerouali a souligné que ce partenariat s’inscrit dans une vision continentale visant à créer des synergies entre les acteurs privés africains, tout en misant sur les complémentarités économiques.
Cet accord illustre une fois de plus le rôle de plus en plus important du Maroc en tant que hub économique et industriel en Afrique. Il reflète également une ambition commune de construire une prospérité partagée sur le continent, en s’appuyant sur des modèles de réussite éprouvés.
L’agriculture et l’agro-industrie figurent parmi les secteurs prioritaires de ce partenariat. Les deux parties souhaitent développer des solutions technologiques adaptées pour améliorer la productivité agricole et assurer une meilleure sécurité alimentaire. Mais ce n’est pas tout : le secteur industriel est également au cœur de cet accord, avec notamment la création de zones dédiées à l’automobile, un domaine où le Maroc excelle déjà grâce à ses plateformes industrielles comme celles de Tanger et Kénitra. Le gouverneur Dapo Abiodun a d’ailleurs salué le succès du modèle marocain dans l’automobile et l’aéronautique, exprimant son ambition de s’en inspirer pour propulser l’économie de son État.
Dans le domaine énergétique, l’accent sera mis sur les énergies renouvelables, notamment le solaire, l’éolien et l’hydroélectricité. Ce volet s’inscrit dans une vision africaine commune de transition énergétique. Par ailleurs, les infrastructures, qu’il s’agisse de routes, de chemins de fer, de ports ou de logements, occuperont une place centrale dans cette coopération. Ces projets devraient non seulement dynamiser l’économie locale, mais aussi renforcer les échanges régionaux.
Un autre point clé de cet accord concerne la formation et le renforcement des compétences locales. Des programmes éducatifs et des échanges d’expertise seront mis en place pour préparer les jeunes générations à relever les défis économiques et technologiques de demain. Ali Zerouali a souligné que ce partenariat s’inscrit dans une vision continentale visant à créer des synergies entre les acteurs privés africains, tout en misant sur les complémentarités économiques.
Cet accord illustre une fois de plus le rôle de plus en plus important du Maroc en tant que hub économique et industriel en Afrique. Il reflète également une ambition commune de construire une prospérité partagée sur le continent, en s’appuyant sur des modèles de réussite éprouvés.