Est-ce que le sport national a été frappé par le phénomène de Hrig ? C’est ce que laisse présager la fuite de deux lutteurs marocains en Serbie. Ils se trouvaient dans ce pays des Balkans afin de participer aux championnats du monde de lutte des moins de 23 ans, les deux jeunes Marocains ont discrètement quitté la résidence où loge la délégation marocaine sans prévenir leur hiérarchie.
La Fédération royale marocaine de lutte a réagi et a prévenu les services de police serbes. Une plainte a même été déposée par le président de la fédération, Fouad Maskout, qui soupçonne l’implication d’un réseau spécialisé dans le trafic d’êtres humains. Car ce n’est pas la première fois que la fédération de lutte est visée par ce genre de gangs puisque beaucoup de jeunes champions marocains sont particulièrement surveillés par ces réseaux.
"Toutes les preuves montrent que la fuite des deux lutteurs a été minutieusement préparée", ajoute Maskout, qui indique que la police serbe a ouvert une enquête approfondie et que les conversations téléphoniques effectuées par les deux lutteurs ont été examinées. Dépité, le patron de la fédération de lutte estime qu’il n’est pas concevable que la fédération investisse beaucoup de moyens pour que les lutteurs puissent briller à l’international et qu’au final, des gangs spécialisés dans le trafic d’êtres humains finissent par les fourvoyer.
La Fédération royale marocaine de lutte a réagi et a prévenu les services de police serbes. Une plainte a même été déposée par le président de la fédération, Fouad Maskout, qui soupçonne l’implication d’un réseau spécialisé dans le trafic d’êtres humains. Car ce n’est pas la première fois que la fédération de lutte est visée par ce genre de gangs puisque beaucoup de jeunes champions marocains sont particulièrement surveillés par ces réseaux.
"Toutes les preuves montrent que la fuite des deux lutteurs a été minutieusement préparée", ajoute Maskout, qui indique que la police serbe a ouvert une enquête approfondie et que les conversations téléphoniques effectuées par les deux lutteurs ont été examinées. Dépité, le patron de la fédération de lutte estime qu’il n’est pas concevable que la fédération investisse beaucoup de moyens pour que les lutteurs puissent briller à l’international et qu’au final, des gangs spécialisés dans le trafic d’êtres humains finissent par les fourvoyer.