Taylor Swift (et ses fans) ont établi un nouveau record remarquable.

L'enthousiasme du public de la superstar a généré une activité sismique équivalente à un tremblement de terre de magnitude 2,3 lors de ses deux concerts à Seattle le week-end dernier, selon les observations de la sismologue Jackie Caplan-Auerbach.
 
La danse, la musique et les cris des fans pourraient, entre autres, y avoir contribué. “J’ai mis les dates des deux soirs de concert côte à côte et j’ai rapidement constaté qu’elles présentaient le même schéma. Les deux dates étaient presque identiques”, explique Jackie Caplan-Auerbach à CNN.
 
Seule distinction entre les deux dates? 26 minutes de délai entre les deux tremblements de terre.
 

“Je me suis renseignée et j’ai découvert que le concert du dimanche avait été retardé d’environ une demi-heure, dont ça coïncide”, ajoute encore la scientifique.

Ce phénomène sismique, baptisé le "Tremblement de terre Swift", est comparé au légendaire "Beast Quake" de 2011, lorsqu'une vague d'enthousiasme déchaînée par les fans des Seahawks de Seattle suite à un touchdown spectaculaire du running back Marshawn "Beast Mode" Lynch avait été enregistrée.
 
La même station sismique locale qui avait détecté l'événement du concert de Taylor Swift avait également capté cette célébration mémorable.
 
Les admirateurs de la chanteuse ont même surpassé les fans de football américain, car les vibrations engendrées par les concerts ont été deux fois plus intenses que celles du fameux "Beast Quake".

"La différence majeure réside dans la durée des secousses", explique Jackie Caplan-Auerbach.

 

"Les acclamations après un touchdown ne durent que quelques secondes avant de s'estomper. C'est beaucoup plus imprévisible qu'un concert (...). La musique, les haut-parleurs, le rythme - toute cette énergie peut pénétrer le sol et le faire vibrer."

L'odj avec 7sur7