Côté clair: la place de leader en L1 avant cette 14e journée. Côté sombre: l'incertitude totale en phase de groupes de C1.
En tête du championnat (30 points) avec un petit point d'avance sur Nice et six points devant Monaco, les Parisiens ont la possibilité dimanche midi de prendre une bouffée d'air frais au stade Océane face aux promus Normands (8e, 16 pts). Et de prendre même le large - quatre points - après la première défaite des Niçois samedi à Nantes (1-0).
Car, malgré un sursaut à la toute dernière minute (1-1) qui a évité un scenario catastrophe contre Newcastle, le PSG n'évacue toujours pas le vertige d'une première élimination sous l'ère qatarie -depuis 2011- en phase de poules de Ligue des champions.
Les coéquipiers de Kylian Mbappé resteront sous pression jusqu'à la sixième et ultime journée le 13 décembre à Dortmund, déjà qualifié mais pas assuré de la première place.
En Ligue 1, c'est une tout autre chanson qui se joue depuis plusieurs semaines. Les Parisiens naviguent sur des eaux beaucoup plus calmes et ce déplacement au bord de la Manche ne devrait pas échapper à la règle.
- Efficaces en L1, moins en C1 -
Une contre-performance en Normandie serait une très mauvaise opération pour le PSG, encore suivi de près par son dauphin, l'OGC Nice, la meilleure défense du championnat - malgré la première défaite contre Nantes.
A Paris, l'attaque est elle plutôt prolifique en championnat, notamment depuis le 30 septembre et le triste match nul à Clermont (0-0). Le PSG a marqué au moins trois buts au cours des six journées suivantes.
Vendredi dernier, les Parisiens ont été particulièrement efficaces, en faisant plier assez facilement Monaco (5-2) au Parc.
Ce rendement a été beaucoup moins important cinq jours plus tard contre Newcastle: mardi soir, Paris n'a inscrit qu'un but malgré les 4,47 «expected goals» («buts attendus»), soit un différentiel négatif de 3,47, du jamais-vu en Ligue des champions, selon le statisticien Opta.
Un blocage mental en attaque en Ligue des champions? "Vous pouvez dire ce que vous voulez...", a répondu samedi Luis Enrique en conférence de presse, visiblement agacé d'être relancé sur le sujet.
Interrogé sur la différence du nombre de buts entre Mbappé (17 toutes compétitions confondues) et les autres, Luis Enrique aurait bien aimé «avoir trois attaquants comme Mbappé qui mettent 17 buts chacun». «Mais ça ne marche pas comme ça. Kylian mettra toujours 40-50 buts. Mais on ne dépend pas de Mbappé, enfin, qui ne dépend pas de Mbappé ? Mais Vitinha, Ramos, Kolo... marquent aussi».
Derrière, le PSG devra toujours faire au Havre sans son capitaine Marquinhos, qui poursuit son «programme adapté», touché aux ischios. Il ne fera pas partie du groupe des Parisiens qui joueront avec un flocage coréen, une opération à destination des supporters en Corée du Sud, de plus en plus nombreux depuis l'arrivée de Lee Kang-in.
Marquinhos devrait être de retour pour le déplacement en Allemagne dans dix jours. Une bonne nouvelle car la charnière mardi composée de Danilo et Skriniar n'a pas tout le temps été sereine, en étant souvent prise dans la profondeur.
En tête du championnat (30 points) avec un petit point d'avance sur Nice et six points devant Monaco, les Parisiens ont la possibilité dimanche midi de prendre une bouffée d'air frais au stade Océane face aux promus Normands (8e, 16 pts). Et de prendre même le large - quatre points - après la première défaite des Niçois samedi à Nantes (1-0).
Car, malgré un sursaut à la toute dernière minute (1-1) qui a évité un scenario catastrophe contre Newcastle, le PSG n'évacue toujours pas le vertige d'une première élimination sous l'ère qatarie -depuis 2011- en phase de poules de Ligue des champions.
Les coéquipiers de Kylian Mbappé resteront sous pression jusqu'à la sixième et ultime journée le 13 décembre à Dortmund, déjà qualifié mais pas assuré de la première place.
En Ligue 1, c'est une tout autre chanson qui se joue depuis plusieurs semaines. Les Parisiens naviguent sur des eaux beaucoup plus calmes et ce déplacement au bord de la Manche ne devrait pas échapper à la règle.
- Efficaces en L1, moins en C1 -
Une contre-performance en Normandie serait une très mauvaise opération pour le PSG, encore suivi de près par son dauphin, l'OGC Nice, la meilleure défense du championnat - malgré la première défaite contre Nantes.
A Paris, l'attaque est elle plutôt prolifique en championnat, notamment depuis le 30 septembre et le triste match nul à Clermont (0-0). Le PSG a marqué au moins trois buts au cours des six journées suivantes.
Vendredi dernier, les Parisiens ont été particulièrement efficaces, en faisant plier assez facilement Monaco (5-2) au Parc.
Ce rendement a été beaucoup moins important cinq jours plus tard contre Newcastle: mardi soir, Paris n'a inscrit qu'un but malgré les 4,47 «expected goals» («buts attendus»), soit un différentiel négatif de 3,47, du jamais-vu en Ligue des champions, selon le statisticien Opta.
Un blocage mental en attaque en Ligue des champions? "Vous pouvez dire ce que vous voulez...", a répondu samedi Luis Enrique en conférence de presse, visiblement agacé d'être relancé sur le sujet.
«C'est un jeu d'erreurs. Je serais préoccupé si on n'avait pas d'occasions. Je ne suis pas préoccupé. On rate des occasions, c'est comme ça le foot, mais s'il vous plait (...) le problème, ce serait de ne pas se créer d'occasions», a-t-il commenté.
«Le foot est un jeu d'erreurs. J'ai vu une vidéo de Michael Jordan qui disait qu'il avait raté tellement de tirs dans sa carrière. Il faut oser», a appuyé le coach espagnol, en réponse aux nombreuses occasions manquées de Bradley Barcola contre Newcastle.
Interrogé sur la différence du nombre de buts entre Mbappé (17 toutes compétitions confondues) et les autres, Luis Enrique aurait bien aimé «avoir trois attaquants comme Mbappé qui mettent 17 buts chacun». «Mais ça ne marche pas comme ça. Kylian mettra toujours 40-50 buts. Mais on ne dépend pas de Mbappé, enfin, qui ne dépend pas de Mbappé ? Mais Vitinha, Ramos, Kolo... marquent aussi».
Derrière, le PSG devra toujours faire au Havre sans son capitaine Marquinhos, qui poursuit son «programme adapté», touché aux ischios. Il ne fera pas partie du groupe des Parisiens qui joueront avec un flocage coréen, une opération à destination des supporters en Corée du Sud, de plus en plus nombreux depuis l'arrivée de Lee Kang-in.
Marquinhos devrait être de retour pour le déplacement en Allemagne dans dix jours. Une bonne nouvelle car la charnière mardi composée de Danilo et Skriniar n'a pas tout le temps été sereine, en étant souvent prise dans la profondeur.