Plus prompt que le défenseur merengue Nacho, le milieu de terrain espagnol a douché le stade Santiago Bernabeu de la tête (90+3, 1-1) sur un long ballon de Savic prolongé par Memphis Depay, alors que le Real menait depuis la 20e minute de jeu et l'ouverture du score de Brahim Diaz.
Toujours leader, le Real (1er, 58 points) manque l'occasion de creuser l'écart avec les Catalans de Gérone (2e, 56 points) et ceux du FC Barcelone (3e, 50 points).
L'Atlético, seule équipe à avoir battu son rival cette saison en Liga et en Coupe du Roi, confirme son statut de bête noire des Merengues et reste quatrième à deux points du Barça.
Chauffés à blanc par un Santiago Bernabeu qui résonnait bien plus qu’à l’accoutumée avec son toit fermé, les hommes de Carlo Ancelotti avaient pourtant imposé leur rythme d'entrée grâce à un bloc haut, emmené par un milieu de terrain Kroos-Camavinga-Valverde inspiré et incisif.
Ils ont logiquement ouvert le score à la 20e minute sur un jeu de billard dans la surface conclu avec de la réussite par le meneur espagnol Brahim Diaz, qui avait pris la place de Vinicius, touché à l'échauffement (20e, 1-0).
Llorente climatise le Bernabeu
De la réussite, c’est justement ce qu’il a manqué aux Colchoneros dans la surface adverse pour revenir dans la partie, malgré les tentatives de la tête de Witsel (23e), Savic (24e) et Saul (37e) et une un face-à-face manqué par Morata en début de partie (8e).
Le Real a lui su faire le dos rond malgré les absences de Rudiger, Militao et Alaba en défense, obligeant le latéral droit Dani Carvajal à occupper l'axe central.
Mais le manque de taille a fini par se faire sentir, le Monténégrin Stefan Savic plaçant un coup de tête rageur sur un corner parfaitement frappé par Griezmann pour égaliser, avant que le but ne soit refusé pour un hors-jeu de position de Saul devant Lunin (48e).
Les Rojiblancos se sont découverts pour aller égaliser et ont failli craquer à plusieurs reprises en contre, mais ont pu compter sur la vigilance de leur portier Jan Oblak pour rester dans la rencontre.
Ils ont fini par éxulter au bout du temps additionnel, Llorente profitant de la passivité de la défense adverse pour placer un coup de tête imparable sous la barre de Lunin (90+3, 1-1).
Toujours leader, le Real (1er, 58 points) manque l'occasion de creuser l'écart avec les Catalans de Gérone (2e, 56 points) et ceux du FC Barcelone (3e, 50 points).
L'Atlético, seule équipe à avoir battu son rival cette saison en Liga et en Coupe du Roi, confirme son statut de bête noire des Merengues et reste quatrième à deux points du Barça.
Chauffés à blanc par un Santiago Bernabeu qui résonnait bien plus qu’à l’accoutumée avec son toit fermé, les hommes de Carlo Ancelotti avaient pourtant imposé leur rythme d'entrée grâce à un bloc haut, emmené par un milieu de terrain Kroos-Camavinga-Valverde inspiré et incisif.
Ils ont logiquement ouvert le score à la 20e minute sur un jeu de billard dans la surface conclu avec de la réussite par le meneur espagnol Brahim Diaz, qui avait pris la place de Vinicius, touché à l'échauffement (20e, 1-0).
Llorente climatise le Bernabeu
De la réussite, c’est justement ce qu’il a manqué aux Colchoneros dans la surface adverse pour revenir dans la partie, malgré les tentatives de la tête de Witsel (23e), Savic (24e) et Saul (37e) et une un face-à-face manqué par Morata en début de partie (8e).
Le Real a lui su faire le dos rond malgré les absences de Rudiger, Militao et Alaba en défense, obligeant le latéral droit Dani Carvajal à occupper l'axe central.
Mais le manque de taille a fini par se faire sentir, le Monténégrin Stefan Savic plaçant un coup de tête rageur sur un corner parfaitement frappé par Griezmann pour égaliser, avant que le but ne soit refusé pour un hors-jeu de position de Saul devant Lunin (48e).
Les Rojiblancos se sont découverts pour aller égaliser et ont failli craquer à plusieurs reprises en contre, mais ont pu compter sur la vigilance de leur portier Jan Oblak pour rester dans la rencontre.
Ils ont fini par éxulter au bout du temps additionnel, Llorente profitant de la passivité de la défense adverse pour placer un coup de tête imparable sous la barre de Lunin (90+3, 1-1).