L’Association Démocratique des Femmes du Maroc (ADFM) a appelé à intégrer la dimension transversale de l’égalité dans l’élaboration du projet de loi des finances pour 2025 (PLF 2025). En ligne avec la note d’orientation sur les réformes essentielles, l'ONG met en avant quatre priorités majeures, insistant sur la nécessité de prendre en compte les inégalités dans la collecte et la gestion des données concernant l’accès des femmes et des filles à divers secteurs et services, tels que l'éducation, la santé, le travail, la propriété, la protection sociale et leur participation à l’élaboration des politiques publiques.
L’ADFM a formulé plusieurs recommandations à l'intention du gouvernement et des acteurs du PLF 2025, notamment le renforcement des réformes fiscales pour redistribuer les impôts sur la fortune en faveur de la généralisation de la protection sociale pour toutes les femmes, notamment celles vulnérables, pauvres ou en sous-emploi. L’ONG préconise également la reconnaissance financière de l’impact économique du travail de soin, principalement effectué par les femmes et les filles, qui reste sous-évalué malgré son importance.
L'Association recommande aussi une révision des allocations financières et dépenses afin de répondre aux besoins stratégiques des femmes et des filles, en modifiant les lois discriminatoires et en développant une politique nationale d’égalité, ainsi qu'une stratégie de lutte contre les violences et les discriminations. Elle souligne également la nécessité de répondre aux besoins immédiats en matière d’alphabétisation juridique, de soutien social et d’accompagnement des victimes de violences.
Parmi les priorités figurent la promotion de la justice sociale pour les femmes cheffes de famille, les travailleuses sociales et celles œuvrant dans les secteurs de soins, en particulier pour les personnes handicapées, âgées ou sans couverture sociale, ainsi que les ouvrières agricoles et de textile.
Dans le cadre du PLF 2025, l’ADFM préconise également de garantir des conditions de travail décentes et sécurisées pour les femmes, d’évaluer les investissements visant à améliorer l’économie en mettant l’accent sur l’élimination du chômage et de la vulnérabilité des femmes, qui sont de plus en plus touchées par ces problématiques.
L’ADFM recommande enfin une évaluation régulière et intégrée de la mise en œuvre transversale de l’égalité dans les secteurs budgétaires, afin de mesurer les progrès réalisés pour réduire les disparités de genre et identifier les défis à relever.
Conformément aux orientations royales, le projet de loi des finances pour 2025 repose sur quatre priorités majeures : renforcer les bases de l’État social, dynamiser l’investissement et la création d’emplois, poursuivre les réformes structurelles et maintenir la soutenabilité des finances publiques.
L’ADFM a régulièrement pris part aux débats sur la loi des finances et, après l’adoption du texte en 2022, a déploré l’absence de budget dédié à l’activation des principes d’égalité hommes-femmes. L’ONG a souligné le manque d’indicateurs et de mécanismes clairs pour améliorer l’accès des femmes à un travail décent et pour offrir des opportunités de développement professionnel.
L’ADFM a formulé plusieurs recommandations à l'intention du gouvernement et des acteurs du PLF 2025, notamment le renforcement des réformes fiscales pour redistribuer les impôts sur la fortune en faveur de la généralisation de la protection sociale pour toutes les femmes, notamment celles vulnérables, pauvres ou en sous-emploi. L’ONG préconise également la reconnaissance financière de l’impact économique du travail de soin, principalement effectué par les femmes et les filles, qui reste sous-évalué malgré son importance.
L'Association recommande aussi une révision des allocations financières et dépenses afin de répondre aux besoins stratégiques des femmes et des filles, en modifiant les lois discriminatoires et en développant une politique nationale d’égalité, ainsi qu'une stratégie de lutte contre les violences et les discriminations. Elle souligne également la nécessité de répondre aux besoins immédiats en matière d’alphabétisation juridique, de soutien social et d’accompagnement des victimes de violences.
Parmi les priorités figurent la promotion de la justice sociale pour les femmes cheffes de famille, les travailleuses sociales et celles œuvrant dans les secteurs de soins, en particulier pour les personnes handicapées, âgées ou sans couverture sociale, ainsi que les ouvrières agricoles et de textile.
Dans le cadre du PLF 2025, l’ADFM préconise également de garantir des conditions de travail décentes et sécurisées pour les femmes, d’évaluer les investissements visant à améliorer l’économie en mettant l’accent sur l’élimination du chômage et de la vulnérabilité des femmes, qui sont de plus en plus touchées par ces problématiques.
L’ADFM recommande enfin une évaluation régulière et intégrée de la mise en œuvre transversale de l’égalité dans les secteurs budgétaires, afin de mesurer les progrès réalisés pour réduire les disparités de genre et identifier les défis à relever.
Conformément aux orientations royales, le projet de loi des finances pour 2025 repose sur quatre priorités majeures : renforcer les bases de l’État social, dynamiser l’investissement et la création d’emplois, poursuivre les réformes structurelles et maintenir la soutenabilité des finances publiques.
L’ADFM a régulièrement pris part aux débats sur la loi des finances et, après l’adoption du texte en 2022, a déploré l’absence de budget dédié à l’activation des principes d’égalité hommes-femmes. L’ONG a souligné le manque d’indicateurs et de mécanismes clairs pour améliorer l’accès des femmes à un travail décent et pour offrir des opportunités de développement professionnel.