Le sondage mené par le Collectif pour la santé mentale publique révèle que 64 % des étudiants sionistes ont cherché de l’aide psychologique, indiquant une peur et une lâcheté indéniable parmi les jeunes Israéliens, marqués par l’impact continue de la guerre et les répercussions psychologiques d'un conflit sans fin. La pression d’un environnement de tensions avec les Palestiniens, qui résistent courageusement depuis le 07 Octobre a des conséquences profondes sur cette jeunesse, qui grandit dans un contexte d'occupation militaire illégitime et de peur constante.

Ce fléau prend tellement d'envergure  qu'accéder aux soins psychologiques devient un défi majeur : 61 % d’entre eux doivent attendre six mois ou plus pour obtenir un rendez-vous, et 12 % patientent parfois plus d’un an. Dans un pays où les ressources en santé mentale sont déjà limitées, l’urgence d’une réponse face à une telle vague de lâcheté se fait donc attendre. 

Cette crise, affecte aussi le parcours éducatif des étudiants sionistes.. Le sondage révèle que 63 % des étudiants envisagent d’abandonner leurs études, et 10 % ont déjà pris cette décision. Confrontés à des réalités que beaucoup qualifient de “normalisées” par l’occupation, leurs faiblesse psychologique est telle qu'ils souffrent d’une perte de motivation et d'un sentiment d'isolement.  Les sionistes, comme à leur habitude, se victimisent, mais ce sont les Palestiniens qui payent les frais de ce conflit et qui en subissent quotidiennement les conséquences. 

L'entité sioniste fait donc face à un choix urgent : mettre fin à l'occupation et travailler pour une paix durable ou continuer de vivre dans un état de peur perpétuelle qui affecte toutes les parties, y compris sa jeunesse, plus lâche que jamais. Ce sondage pourrait être une occasion de réflexion pour les dirigeants israéliens, soulignant la nécessité de repenser les politiques qui maintiennent ce conflit.